Hier soir, en l'honneur de plein de choses, c'était la fête au taf.
Petits sandwichs, pain, saint nectaire, vin rouge, chimay bleue,
chimay rouge, et allez qu'on se retrouve à _jouer_ aux loups et aux
villageois, sur une idée originale de msieur le président, et allez
qu'on se pose dans la cours devant la boîte.
Et au fur et à mesure des diverses discussions (de geeks quand
même, forcement), on se rend compte que, depuis le début à 18h, bah
le temps a passé, et qu'on a beau ne pas avoir vu le temps passer,
il est quand même pres de minuit et qu'il va falloir songer à
regagner ses pénates.
Une soirée très sympa, très arrosée finalement (ou bien j'ai pas
assez mangé, c'est possible), mais ca fait plaisir de découvrir le
côté plus personnel des gens du boulot, finalement.
Ce soir je suis sage, promis.
Ou pas.
mercredi 01 septembre 2004 (2 posts)
Définitivement, non.
samedi 04 septembre 2004 (2 posts)
J'ai dormi cette nuit avec un moustique.
Même sous la couette, il reste toujours des bouts qui dépassent, et forcement il s'est pas privé. Je dois avoir pas loin de 5/6 piqures, ce salaud a bien bouffé.
Et ce matin, je suis reveillé en sursaut par un bzzz bzzz bzzz. J'ouvre les yeux, voit un petit truc noir qui volette dans mon brouillard de myope.
CLAC
Un claquement de main plus tard, je suis vengé.
J'aime les animaux moi.
Même sous la couette, il reste toujours des bouts qui dépassent, et forcement il s'est pas privé. Je dois avoir pas loin de 5/6 piqures, ce salaud a bien bouffé.
Et ce matin, je suis reveillé en sursaut par un bzzz bzzz bzzz. J'ouvre les yeux, voit un petit truc noir qui volette dans mon brouillard de myope.
CLAC
Un claquement de main plus tard, je suis vengé.
J'aime les animaux moi.
You're tearing me apart
Crushing me inside
You used to lift me up
Now you get me down
If I
Was to walk away
From you my love
Could I laugh again ?
If I
Walk away from you
And leave my love
Could I laugh again ?
Again, again...
You're killing me again
Am I still in your head ?
You used to light me up
Now you shut me down
If I
Was to walk away
From you my love
Could I laugh again ?
If I
Walk away from you
And leave my love
Could I laugh again ?
Without your love
You're tearing me apart
With you close by
You're crushing me inside
Without your love
You're tearing me apart
Without your love
I'm dazed in madness
Can't lose this sadness
Archive - Again
Crushing me inside
You used to lift me up
Now you get me down
If I
Was to walk away
From you my love
Could I laugh again ?
If I
Walk away from you
And leave my love
Could I laugh again ?
Again, again...
You're killing me again
Am I still in your head ?
You used to light me up
Now you shut me down
If I
Was to walk away
From you my love
Could I laugh again ?
If I
Walk away from you
And leave my love
Could I laugh again ?
Without your love
You're tearing me apart
With you close by
You're crushing me inside
Without your love
You're tearing me apart
Without your love
I'm dazed in madness
Can't lose this sadness
Archive - Again
dimanche 05 septembre 2004 (2 posts)
Bilan de la soirée...
Il me reste un gout amer dans la bouche.
Il m'évoque de la bile.
Je n'ai pas vomi.
Il me reste un gout amer dans la bouche.
Il m'évoque de la bile.
Je n'ai pas vomi.
J'ai croisé
Au cours de ce weekend
Quelques sourires
Qui en valaient la peine.
Au cours de ce weekend
Quelques sourires
Qui en valaient la peine.
dimanche 12 septembre 2004 (3 posts)
Une semaine presque riche en évenements, et finalement pas tant que
ça. Des soirées «normales», des cuites, des piques niques, des
soirées d'au-revoir.
Tout ceci commence à sentir vraiment la fin de l'été. Les projets de colloc qui se concretisent, les apparts...
Plus qu'une semaine, et je retourne là bas.
Là bas, j'ai oublié ce que c'est, en 3 mois 1/2. Je sais que j'ai envie d'y retourner, je sais que ca va être different de l'année derniere, et pourtant ca me manque.
J'ai l'impression que cette derniere semaine va passer en acceleré. Voir les gens avant de partir, une "dernière fois".
Et puis me relancer dans l'aventure à corps perdu.
Les retrouver, eux, qui font que j'adore une ville qui n'est pas la mienne.
Voir à peine quelques heures Solène, alors que je sens que de plus en plus notre amitié m'est nécessaire.
Partir pour un an, ou plus. Partager la vie, à deux. Découvrir aussi les instants quotidiens. Apprendre de lui, de Romaric, et lui apprendre comme j'aime vivre, partager des écoutes, des conversations à des heures indues. Inviter des gens «chez nous».
Envie de revoir la Delphine, le pilou, les autres, qui grinceront parce qu'ils s'appellent "les autres", et qui n'auront pas tort.
Je rêve, je crois, tout éveillé.
Je suis à un moment où je pourrais trouver qu'il ne me reste à la fois pas assez et trop de temps sur Paris. Pas assez pour voir tous ceux que j'aime ici, et trop pour attendre de rejoindre ceux que j'aime là bas.
Mais finalement, un certain optimisme dont je ne me sépare finalement quasi-plus me titille dans l'oreille que je suis dans quelques jours avec ceux que j'aime, et que pour me faire patienter il me reste quelques jours avec ceux que j'aime.
So long...
Tout ceci commence à sentir vraiment la fin de l'été. Les projets de colloc qui se concretisent, les apparts...
Plus qu'une semaine, et je retourne là bas.
Là bas, j'ai oublié ce que c'est, en 3 mois 1/2. Je sais que j'ai envie d'y retourner, je sais que ca va être different de l'année derniere, et pourtant ca me manque.
J'ai l'impression que cette derniere semaine va passer en acceleré. Voir les gens avant de partir, une "dernière fois".
Et puis me relancer dans l'aventure à corps perdu.
Les retrouver, eux, qui font que j'adore une ville qui n'est pas la mienne.
Voir à peine quelques heures Solène, alors que je sens que de plus en plus notre amitié m'est nécessaire.
Partir pour un an, ou plus. Partager la vie, à deux. Découvrir aussi les instants quotidiens. Apprendre de lui, de Romaric, et lui apprendre comme j'aime vivre, partager des écoutes, des conversations à des heures indues. Inviter des gens «chez nous».
Envie de revoir la Delphine, le pilou, les autres, qui grinceront parce qu'ils s'appellent "les autres", et qui n'auront pas tort.
Je rêve, je crois, tout éveillé.
Je suis à un moment où je pourrais trouver qu'il ne me reste à la fois pas assez et trop de temps sur Paris. Pas assez pour voir tous ceux que j'aime ici, et trop pour attendre de rejoindre ceux que j'aime là bas.
Mais finalement, un certain optimisme dont je ne me sépare finalement quasi-plus me titille dans l'oreille que je suis dans quelques jours avec ceux que j'aime, et que pour me faire patienter il me reste quelques jours avec ceux que j'aime.
So long...
Je l'ai pas mal observé ces derniers temps. Le rapprochement
aidant, je l'ai mieux connue, j'ai découvert des trucs, mais en
gardant un point de vue plutôt exterieur.
Sur ces derniers jours, je l'ai trouvé extremement courageuse. Enfin non, courageuse est sans doute pas le mot. Mais ca ne devait vraiment pas être facile pour elle, et elle s'en est sorti relativement bien.
Ne pas avoir une minute à elle, toujours sollicitée, partager tous ses instants, toutes ses journées et toutes ses nuits. Répondre à toutes les demandes, à tout ceux qui l'aiment, sans blesser.
J'ai observé ce manège de l'exterieur, sans m'immiscer, pour ne pas en ajouter. Je l'ai senti plusieurs fois au bord du craquage. J'ai moi même du contribuer à la pression qu'elle devait ressentir.
Parfois j'ai eu l'impression de voir une bande de vautours sur une proie, à celà près que l'analogie est plutôt noire, péjorative, plutôt méchante, et que c'est pas vraiment le but en fait. Oubliez
Pas facile à gerer comme situation, et je sais pas comment elle fait pour tenir, je crois qu'à sa place je me débrouillerais pour passer 24h sans voir _personne_.
Certains vont forcement se demander de qui je parle, ca n'a aucun interêt finalement, vous en connaissez forcement des gens comme ça.
Moi j'avoue, respect.
Sur ces derniers jours, je l'ai trouvé extremement courageuse. Enfin non, courageuse est sans doute pas le mot. Mais ca ne devait vraiment pas être facile pour elle, et elle s'en est sorti relativement bien.
Ne pas avoir une minute à elle, toujours sollicitée, partager tous ses instants, toutes ses journées et toutes ses nuits. Répondre à toutes les demandes, à tout ceux qui l'aiment, sans blesser.
J'ai observé ce manège de l'exterieur, sans m'immiscer, pour ne pas en ajouter. Je l'ai senti plusieurs fois au bord du craquage. J'ai moi même du contribuer à la pression qu'elle devait ressentir.
Parfois j'ai eu l'impression de voir une bande de vautours sur une proie, à celà près que l'analogie est plutôt noire, péjorative, plutôt méchante, et que c'est pas vraiment le but en fait. Oubliez
Pas facile à gerer comme situation, et je sais pas comment elle fait pour tenir, je crois qu'à sa place je me débrouillerais pour passer 24h sans voir _personne_.
Certains vont forcement se demander de qui je parle, ca n'a aucun interêt finalement, vous en connaissez forcement des gens comme ça.
Moi j'avoue, respect.
[15:14:11] (Corsac): ca va bien ?
[15:14:37] (spud): *matin*
[15:14:41] (spud): *reveil*
[15:14:43] (Corsac): ouais
[15:14:48] (Corsac): je te recause dans 2h ?
[15:14:48] (Corsac): :x
[15:14:52] (spud): oui :à)
[15:14:54] (spud): à
[15:14:58] (spud): -à
[15:14:59] (spud): @#@#@#
*sifflote*
[15:14:37] (spud): *matin*
[15:14:41] (spud): *reveil*
[15:14:43] (Corsac): ouais
[15:14:48] (Corsac): je te recause dans 2h ?
[15:14:48] (Corsac): :x
[15:14:52] (spud): oui :à)
[15:14:54] (spud): à
[15:14:58] (spud): -à
[15:14:59] (spud): @#@#@#
*sifflote*
lundi 13 septembre 2004 (1 post)
J'étais parti hier soir pour installer linux chez deux charmantes
demoiselles (enfin au moins une) (pour installer linux, pas une
seule de charmante, pff).
Normalement, ca aurait du être une partie de plaisir (enfin si je puis dire hein), mais evidemment comme toute install de linux, faut bien que ca dure un peu (comme on dit hein, plus c'est long, plus c'est bon).
Sauf que là en l'occurrence, le soucis, c'était pas d'installer linux. C'était de trouver comment cracker le mot de passe superviseur du bios d'un laptop toshiba, histoire de pouvoir changer la séquence de boot.
Et là, rien à faire.
Ya quelques manips sur le net, mais rien ne marche, des trucs avec des disquettes de boot (ce qui ne nous arrange pas vraiment, vu que la séquence de boot là c'est HDD avant tout).
Je passe bien 2 ou 3h rien qu'à essayer de bypasser ce mot de passe. Et je finis par la solution extrème. Le device loopback sur port parallèle.
Et me voilà avec mon couteau démontant une prise de cable imprimante, dénudant les fils et les reliant.
Je finis par pouvoir brancher mon trouc sur le pc, j'y croyais pas trop. Sauf que si. Ça marche. J'en étais sur le cul.
Ça c'est classe quand même. Limite je pourrais raconter ça à mes petits enfants, le coup du hacking de password avec le port parallèle que même dans les films ils osent pas.
Bon evidemment, après, l'install de linux ça a été d'une banalité sans nom, tout s'est bien passé c'est même plus drôle...
Normalement, ca aurait du être une partie de plaisir (enfin si je puis dire hein), mais evidemment comme toute install de linux, faut bien que ca dure un peu (comme on dit hein, plus c'est long, plus c'est bon).
Sauf que là en l'occurrence, le soucis, c'était pas d'installer linux. C'était de trouver comment cracker le mot de passe superviseur du bios d'un laptop toshiba, histoire de pouvoir changer la séquence de boot.
Et là, rien à faire.
Ya quelques manips sur le net, mais rien ne marche, des trucs avec des disquettes de boot (ce qui ne nous arrange pas vraiment, vu que la séquence de boot là c'est HDD avant tout).
Je passe bien 2 ou 3h rien qu'à essayer de bypasser ce mot de passe. Et je finis par la solution extrème. Le device loopback sur port parallèle.
Et me voilà avec mon couteau démontant une prise de cable imprimante, dénudant les fils et les reliant.
Je finis par pouvoir brancher mon trouc sur le pc, j'y croyais pas trop. Sauf que si. Ça marche. J'en étais sur le cul.
Ça c'est classe quand même. Limite je pourrais raconter ça à mes petits enfants, le coup du hacking de password avec le port parallèle que même dans les films ils osent pas.
Bon evidemment, après, l'install de linux ça a été d'une banalité sans nom, tout s'est bien passé c'est même plus drôle...
mardi 14 septembre 2004 (1 post)
Well, I just got into town about an hour ago
Took a look around, see which way the wind blow
Where the little girls in their Hollywood bungalows
Are you a lucky little lady in the City of Light
Or just another lost angel...City of Night
City of Night, City of Night, City of Night, woo, c'mon
L.A. Woman, L.A. Woman
L.A. Woman Sunday afternoon
L.A. Woman Sunday afternoon
L.A. Woman Sunday afternoon
Drive thru your suburbs
Into your blues, into your blues, yeah
Into your blue-blue Blues
Into your blues, ohh, yeah
I see your hair is burnin'
Hills are filled with fire
If they say I never loved you
You know they are a liar
Drivin' down your freeways
Midnite alleys roam
Cops in cars, the topless bars
Never saw a woman...
So alone, so alone
So alone, so alone
Motel Money Murder Madness
Let's change the mood from glad to sadness
Mr. Mojo Risin', Mr. Mojo Risin'
Mr. Mojo Risin', Mr. Mojo Risin'
Got to keep on risin'
Mr. Mojo Risin', Mr. Mojo Risin'
Mojo Risin', gotta Mojo Risin'
Mr. Mojo Risin', gotta keep on risin'
Risin', risin'
Gone risin', risin'
I'm gone risin', risin'
I gotta risin', risin'
Well, risin', risin'
I gotta, wooo, yeah, risin'
Woah, ohh yeah
Well, I just got into town about an hour ago
Took a look around, see which way the wind blow
Where the little girls in their Hollywood bungalows
Are you a lucky little lady in the City of Light
Or just another lost angel...City of Night
City of Night, City of Night, City of Night, woah, c'mon
L.A. Woman, L.A. Woman
L.A. Woman, your my woman
Little L.A. Woman, Little L.A. Woman
L.A. L.A. Woman Woman
L.A. Woman c'mon
The Doors - LA Woman
Took a look around, see which way the wind blow
Where the little girls in their Hollywood bungalows
Are you a lucky little lady in the City of Light
Or just another lost angel...City of Night
City of Night, City of Night, City of Night, woo, c'mon
L.A. Woman, L.A. Woman
L.A. Woman Sunday afternoon
L.A. Woman Sunday afternoon
L.A. Woman Sunday afternoon
Drive thru your suburbs
Into your blues, into your blues, yeah
Into your blue-blue Blues
Into your blues, ohh, yeah
I see your hair is burnin'
Hills are filled with fire
If they say I never loved you
You know they are a liar
Drivin' down your freeways
Midnite alleys roam
Cops in cars, the topless bars
Never saw a woman...
So alone, so alone
So alone, so alone
Motel Money Murder Madness
Let's change the mood from glad to sadness
Mr. Mojo Risin', Mr. Mojo Risin'
Mr. Mojo Risin', Mr. Mojo Risin'
Got to keep on risin'
Mr. Mojo Risin', Mr. Mojo Risin'
Mojo Risin', gotta Mojo Risin'
Mr. Mojo Risin', gotta keep on risin'
Risin', risin'
Gone risin', risin'
I'm gone risin', risin'
I gotta risin', risin'
Well, risin', risin'
I gotta, wooo, yeah, risin'
Woah, ohh yeah
Well, I just got into town about an hour ago
Took a look around, see which way the wind blow
Where the little girls in their Hollywood bungalows
Are you a lucky little lady in the City of Light
Or just another lost angel...City of Night
City of Night, City of Night, City of Night, woah, c'mon
L.A. Woman, L.A. Woman
L.A. Woman, your my woman
Little L.A. Woman, Little L.A. Woman
L.A. L.A. Woman Woman
L.A. Woman c'mon
The Doors - LA Woman
lundi 20 septembre 2004 (1 post)
Et hop, back to Rennes.
Ca fait bizarre de se retrouver ici. Après 3 mois sur Paris. 3 mois, c'est largement suffisant pour avoir repris des habitudes, pour avoir l'impression que j'ai toujours vécu là bas. Et pourtant, à nouveau, arrivé ici, je me sens aussi chez moi. Pas désagreable de se sentir accueilli, et bien accueilli. Un weekend déjà chargé, entre pots, ballades, brocantes et visites d'appart (si quelqu'un a un T2/T3 sur rennes nord/centre/est en dessous de 500€, ca m'interesse, c'est pour une colloc, merci mon brave).
Trop peu de temps passé avec Solène qui m'a encore pas fait mes nattes, pfff. Content de retrouver les autres, pour plus longtemps. Samedi sauna et piscine chez le Pilou, pas désagréable, tout de même.
Ca fait du bien aussi de décrocher du net, même si brutalement comme ca pouf. Et puis c'est pas totalement, mais faire autre chose de ses journées, ca me fait vraiment des vacances.
Et puis cette année, je pars vraiment avec le sentiment d'être vraiment à Rennes, contrairement aux deux années précédentes où mon coeur était pris à Paris. (oui bon ca veut pas dire que je vous ai tout d'un coup tous oubliés, ceux qui sont à Paris hein...).
J'étais bien content, d'ailleurs, d'avoir un bout de moi à Paris, mais là du coup c'est un peu à nouveau ma première fois, et je savoure finalement chaque instant.
Reste deux semaines de "vacances" avant la rentrée. Avec recherche d'appart, cours de conduite. Concert de mes souliers sont rouges, profiter de la vie à Rennes. Bref, j'ai de quoi m'occuper.
Prochain update je sais pas quand :)
Ca fait bizarre de se retrouver ici. Après 3 mois sur Paris. 3 mois, c'est largement suffisant pour avoir repris des habitudes, pour avoir l'impression que j'ai toujours vécu là bas. Et pourtant, à nouveau, arrivé ici, je me sens aussi chez moi. Pas désagreable de se sentir accueilli, et bien accueilli. Un weekend déjà chargé, entre pots, ballades, brocantes et visites d'appart (si quelqu'un a un T2/T3 sur rennes nord/centre/est en dessous de 500€, ca m'interesse, c'est pour une colloc, merci mon brave).
Trop peu de temps passé avec Solène qui m'a encore pas fait mes nattes, pfff. Content de retrouver les autres, pour plus longtemps. Samedi sauna et piscine chez le Pilou, pas désagréable, tout de même.
Ca fait du bien aussi de décrocher du net, même si brutalement comme ca pouf. Et puis c'est pas totalement, mais faire autre chose de ses journées, ca me fait vraiment des vacances.
Et puis cette année, je pars vraiment avec le sentiment d'être vraiment à Rennes, contrairement aux deux années précédentes où mon coeur était pris à Paris. (oui bon ca veut pas dire que je vous ai tout d'un coup tous oubliés, ceux qui sont à Paris hein...).
J'étais bien content, d'ailleurs, d'avoir un bout de moi à Paris, mais là du coup c'est un peu à nouveau ma première fois, et je savoure finalement chaque instant.
Reste deux semaines de "vacances" avant la rentrée. Avec recherche d'appart, cours de conduite. Concert de mes souliers sont rouges, profiter de la vie à Rennes. Bref, j'ai de quoi m'occuper.
Prochain update je sais pas quand :)
vendredi 24 septembre 2004 (1 post)
Bon comme j'ai un peu la flemme de refaire le même post deux fois,
allez voir
là.
Tant que j'y suis d'ailleurs, sachez que je risque pas mal de poster aussi là bas, pas les mêmes choses qu'ici, pas tout à fait la même ambiance, mais tout de même.
Drôle de quartier, finalement, c'était déjà un blog y'a longtemps. Sauf que c'était pas online. Ça se passait quand je devais avoir 8/10 ans, genre. C'était un journal (quotidien, même, je crois) que "nous" (à savoir mes deux soeurs & moi) écrivions, sur l'atari familial, et qui racontait notre journée pour nos pâûvres parents qui rentraient tard du boulot.
Puis ca a été un moyen pratique de donner des nouvelles pendant les vacances.
Et puis là, au final, c'est un blog familial, qui permet de garder le contact quand la famille est éparpillée sur la planète.
Donc voilà, c'est du blog, c'est familial et private joke, forcément. Enfin allez voir, vous verrez bien (ou pas).
Tant que j'y suis d'ailleurs, sachez que je risque pas mal de poster aussi là bas, pas les mêmes choses qu'ici, pas tout à fait la même ambiance, mais tout de même.
Drôle de quartier, finalement, c'était déjà un blog y'a longtemps. Sauf que c'était pas online. Ça se passait quand je devais avoir 8/10 ans, genre. C'était un journal (quotidien, même, je crois) que "nous" (à savoir mes deux soeurs & moi) écrivions, sur l'atari familial, et qui racontait notre journée pour nos pâûvres parents qui rentraient tard du boulot.
Puis ca a été un moyen pratique de donner des nouvelles pendant les vacances.
Et puis là, au final, c'est un blog familial, qui permet de garder le contact quand la famille est éparpillée sur la planète.
Donc voilà, c'est du blog, c'est familial et private joke, forcément. Enfin allez voir, vous verrez bien (ou pas).
dimanche 26 septembre 2004 (2 posts)
Un concert vraiment excellent. Une salle des fêtes dans un coin
paumé à 30 bornes au sud de Rennes (oui, désolé, mais Bains de
Bretagne c'est quand même tout petit, mais c'était l'interet du
trouc).
Pas beaucoup de monde, pleins de gens venus je crois spécialement pour le premier groupe, local (D'accord léon, mais pas celui qu'on trouve sur le net). Avec de l'accordéon, forcement, mais que j'ai vraiment bien aimé. Ils étaient super jeunes j'ai trouvé, mais c'était bien sympa.
Ensuite, après une prestation de pas loin d'une heure, finalement, je dirais, ils laissent la place à Mes Souliers Sont Rouges. Et c'est impressionant comment ca vaut le coup de les voir en vrai. Parce qu'on se rend pas bien compte sur les cds, quand François tape du talon en chantant (ou l'inverse), quand ils font des chansons "a capella, ca veut dire qu'on fait ca sans les mains" (et effectivement). Et puis on a eu droit à La rose, à Sortis du bois, Monsieur Fernand, au Galant Maudit, à Quand plus rien ne va, à Sainte Cécile... Que du bonheur quoi.
Et après, à la sortie, on a pu discuter avec eux un peu, boire un coup. Ils sont super sympas et finalement très accessibles. Vivement 6 :)
Pas beaucoup de monde, pleins de gens venus je crois spécialement pour le premier groupe, local (D'accord léon, mais pas celui qu'on trouve sur le net). Avec de l'accordéon, forcement, mais que j'ai vraiment bien aimé. Ils étaient super jeunes j'ai trouvé, mais c'était bien sympa.
Ensuite, après une prestation de pas loin d'une heure, finalement, je dirais, ils laissent la place à Mes Souliers Sont Rouges. Et c'est impressionant comment ca vaut le coup de les voir en vrai. Parce qu'on se rend pas bien compte sur les cds, quand François tape du talon en chantant (ou l'inverse), quand ils font des chansons "a capella, ca veut dire qu'on fait ca sans les mains" (et effectivement). Et puis on a eu droit à La rose, à Sortis du bois, Monsieur Fernand, au Galant Maudit, à Quand plus rien ne va, à Sainte Cécile... Que du bonheur quoi.
Et après, à la sortie, on a pu discuter avec eux un peu, boire un coup. Ils sont super sympas et finalement très accessibles. Vivement 6 :)
Monsieur Fernand
Est un homme charmant
Bien qu'affublé
De mille sobriquets
Il est charmant
Monsieur est élégant
Monsieur a de belles dents
Mais il reste prudent
Monsieur Fernand
Aime danser de temps en temps
Il va au Châtaignier
Le dancing d'à côté
Perdu au milieu des champs
Il aime s'y distraire
S'y envoyer en l'air
Chorégraphiquement parlant
Monsieur Fernand
Aime bien boire un coup aussi de temps en temps
Pour ça y a la Civette
Là où y a la Suzette
La belle au bois dormant
Sur son beau vespa blanc
Il se verrait bien l'aimant
Des nuits durant
Monsieur Fernand
Est un homme cordial mais franc
Pas plus tard qu'hier au café
Faut voir les vérités
Qu'il a dites à Jean-Jean
Monsieur n'est pas sévère
Il a son caractère
C'est ça qui plaît aux gens
Monsieur Fernand
La nuit tombant
Des rêves plein la tête
A défaut de la Suzette
Il retrouve Môman
Môman n'est pas sévère
Elle a son caractère..
Môman n'est pas sévère
C'est juste qu'elle aime pas les mystères
Pis qu'elle aime pas Jean-Jean
Mes Souliers Sont Rouges - Monsieur Fernand
Est un homme charmant
Bien qu'affublé
De mille sobriquets
Il est charmant
Monsieur est élégant
Monsieur a de belles dents
Mais il reste prudent
Monsieur Fernand
Aime danser de temps en temps
Il va au Châtaignier
Le dancing d'à côté
Perdu au milieu des champs
Il aime s'y distraire
S'y envoyer en l'air
Chorégraphiquement parlant
Monsieur Fernand
Aime bien boire un coup aussi de temps en temps
Pour ça y a la Civette
Là où y a la Suzette
La belle au bois dormant
Sur son beau vespa blanc
Il se verrait bien l'aimant
Des nuits durant
Monsieur Fernand
Est un homme cordial mais franc
Pas plus tard qu'hier au café
Faut voir les vérités
Qu'il a dites à Jean-Jean
Monsieur n'est pas sévère
Il a son caractère
C'est ça qui plaît aux gens
Monsieur Fernand
La nuit tombant
Des rêves plein la tête
A défaut de la Suzette
Il retrouve Môman
Môman n'est pas sévère
Elle a son caractère..
Môman n'est pas sévère
C'est juste qu'elle aime pas les mystères
Pis qu'elle aime pas Jean-Jean
Mes Souliers Sont Rouges - Monsieur Fernand
mardi 28 septembre 2004 (2 posts)
Moi je lui ai pas promis un vrai post intime, comme n/a.
Qui ?
Celui sur le camshot. Vous le connaissez pas ? C'est Philippe Jaenada. L'auteur du Chameau Sauvage. (et à gauche c'est Virginie Despentes, non j'ai rien lu d'elle, bisous binnie, elle préfere Courtney Love, elle l'a dit).
C'était sur proposition de n/a, parce qu'elle savait pas quel jean mettre, alors je lui ai dis d'en mettre un assorti à mon bandana assorti à son jean, parce que oui j'étais à Paris, surprise. Et parce qu'elle a pu dormir à la maison, du coup, et que c'est vachement moins cher qu'un taxi pour rentrer chez elle (5€ vs 20€, elle est gagnante quand même, même si du coup elle se tape deux matelas, deux couettes, 5 oreillers et un éléphant en peluche, bisous wam).
Donc voilà, une espèce d'émission litteraire diffusée à la télé on sait pas trop quand, tournée dans un café bobo entre Colonel Fabien et Belleville (L'île enchantée, paye ton nom). Elle était invitée par le maestro lui même, moi j'étais invité par elle, forcement ça a moins de classe mais on fait ce qu'on peut hein.
Donc arrivés sur place, on essaye d'en trouver (de la place). Pas facile, ca se bouscule un peu. Virginie Despentes se fait interviewer, ca parle feminisime, je décroche un peu, j'aime pas, au mieux certaines réactions me font rigoler. À noter aussi une petite gueulante sur les blogs entre elle et un mec dans l'assemblée à propos d'un tierce blogger que je connais pas (je suis pas très people, je vous l'ai déjà dis ?). Bref, le traditionnel refrain du je suis chez moi je fais ce que je veux vs et la liberté d'expression !!.
Des débats que je me souviens avoir eu vaguement y'a deux ans, finalement. (virginie si tu effaces autant de commentaires que ca, est ce que les virer ca serait pas la solution ? hmh.. [EDIT]: en fait, après verification sur le blog de la susdite, elle a l'air de les avoir viré. Au temps pour moi. [/EDIT])
Bref, nous on cherchait Philippe pendant ce temps là, parce qu'on avait que la photo de couv' du Chameau pour nous aider, et c'était en 97 quoi, donc on savait pas trop. n/a m'indique un type qui nous mate vaguement, mais bon on sait pas trop si c'est son charme fou ou mes cheveux longs et mon bandana. Il finit par se lever et venir vers nous, et aborde n/a, cash. C'était lui (et c'était bien mes cheveux longs et mon bandana, si vous voulez je me loue comme point de rendez vous pour vos fiestas: "rendez vous pres du grand type aux cheveux longs avec un bandana"). On boit un verre (enfin il boit dans ma biere (!!!)), avant de s'en commander une, on discute des blogs, de pourquoi il a fermé le sien, n/a promet un post intime et moi je défend mon idée du blog qui respecte la vie privée des éventuels protagonistes (d'ailleurs Philippe si tu passes par ici, t'as qu'à faire un blog communautaire, après tout). Puis il se fait rappeller à l'ordre parce qu'il est temps de se faire interviewer, il chante au micro, égaye l'assistances, quelques questions du public puis nous on s'en va, legerement saoulés par l'ambiance qui vire musicale et mondaine (surtout mondaine, en fait).
Puis papotage pendant la fin de notre vie, que ça m'a fait putain du bien, de la voir face à face, ça aide aussi à maintenir l'amitié, parce que même si on reste proches, bah sans se voir on finit quand même par s'éloigner. Et qu'avoir quelqu'un sur qui compter, ca fait plaisir quoi.
Même si elle est mariée :>
(et non, désolé, pas de dédicace, l'ambiance s'y pretait pas) (j'aurais ptet du ramener le verre dans lequel il a bu, quand même :| )
Qui ?
Celui sur le camshot. Vous le connaissez pas ? C'est Philippe Jaenada. L'auteur du Chameau Sauvage. (et à gauche c'est Virginie Despentes, non j'ai rien lu d'elle, bisous binnie, elle préfere Courtney Love, elle l'a dit).
C'était sur proposition de n/a, parce qu'elle savait pas quel jean mettre, alors je lui ai dis d'en mettre un assorti à mon bandana assorti à son jean, parce que oui j'étais à Paris, surprise. Et parce qu'elle a pu dormir à la maison, du coup, et que c'est vachement moins cher qu'un taxi pour rentrer chez elle (5€ vs 20€, elle est gagnante quand même, même si du coup elle se tape deux matelas, deux couettes, 5 oreillers et un éléphant en peluche, bisous wam).
Donc voilà, une espèce d'émission litteraire diffusée à la télé on sait pas trop quand, tournée dans un café bobo entre Colonel Fabien et Belleville (L'île enchantée, paye ton nom). Elle était invitée par le maestro lui même, moi j'étais invité par elle, forcement ça a moins de classe mais on fait ce qu'on peut hein.
Donc arrivés sur place, on essaye d'en trouver (de la place). Pas facile, ca se bouscule un peu. Virginie Despentes se fait interviewer, ca parle feminisime, je décroche un peu, j'aime pas, au mieux certaines réactions me font rigoler. À noter aussi une petite gueulante sur les blogs entre elle et un mec dans l'assemblée à propos d'un tierce blogger que je connais pas (je suis pas très people, je vous l'ai déjà dis ?). Bref, le traditionnel refrain du je suis chez moi je fais ce que je veux vs et la liberté d'expression !!.
Des débats que je me souviens avoir eu vaguement y'a deux ans, finalement. (virginie si tu effaces autant de commentaires que ca, est ce que les virer ca serait pas la solution ? hmh.. [EDIT]: en fait, après verification sur le blog de la susdite, elle a l'air de les avoir viré. Au temps pour moi. [/EDIT])
Bref, nous on cherchait Philippe pendant ce temps là, parce qu'on avait que la photo de couv' du Chameau pour nous aider, et c'était en 97 quoi, donc on savait pas trop. n/a m'indique un type qui nous mate vaguement, mais bon on sait pas trop si c'est son charme fou ou mes cheveux longs et mon bandana. Il finit par se lever et venir vers nous, et aborde n/a, cash. C'était lui (et c'était bien mes cheveux longs et mon bandana, si vous voulez je me loue comme point de rendez vous pour vos fiestas: "rendez vous pres du grand type aux cheveux longs avec un bandana"). On boit un verre (enfin il boit dans ma biere (!!!)), avant de s'en commander une, on discute des blogs, de pourquoi il a fermé le sien, n/a promet un post intime et moi je défend mon idée du blog qui respecte la vie privée des éventuels protagonistes (d'ailleurs Philippe si tu passes par ici, t'as qu'à faire un blog communautaire, après tout). Puis il se fait rappeller à l'ordre parce qu'il est temps de se faire interviewer, il chante au micro, égaye l'assistances, quelques questions du public puis nous on s'en va, legerement saoulés par l'ambiance qui vire musicale et mondaine (surtout mondaine, en fait).
Puis papotage pendant la fin de notre vie, que ça m'a fait putain du bien, de la voir face à face, ça aide aussi à maintenir l'amitié, parce que même si on reste proches, bah sans se voir on finit quand même par s'éloigner. Et qu'avoir quelqu'un sur qui compter, ca fait plaisir quoi.
Même si elle est mariée :>
(et non, désolé, pas de dédicace, l'ambiance s'y pretait pas) (j'aurais ptet du ramener le verre dans lequel il a bu, quand même :| )
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