Après la trouvaille de l'appart, nos ennuis étaient pas terminés.
Entre la signature des baux par les cautions respectives, les
assurances, les nouvelles du proprietaire etc..., la journée d'hier
a été relativement horrible, finalement.
Après être rentré à Paris pour faire signer mon bail, on attendait
par retour du courrier le bail de Romaric, signé, sans trop s'être
dit que ca aurait pu être bien de faire signer les deux baux par
les deux cautions. Haem. L'assurance voulait une trace écrite, et
on a le bras long mais pour aller jusqu'à Troyes c'est pas
facile.
Entre temps, pas de nouvelles du proprio, et Romaric est à la rue à
11h30, moi j'obtiens un délai jusqu'au soir ou ce matin.
Déprime. Les affaires de Rom sont répartis dans 2 voitures et 3
appartements (dont le mien). On envisage de coucher sous un pont,
ou dans la voiture.
Et puis, en quelques heures, tout se resoud. On joint le proprio
qui nous donne rendez vous pour le soir, on joint l'assurance par
fax qui renvoie les polices, et enfin on va faire l'état des lieux,
on recupere les clés, et on peut s'installer.
Déchargement de la voiture, on recupere quelques bras, quelques
bieres et quelques pizzas (merci Delphine, Pilou, Aurore &
Steph), et on casse la graine. Puis à 10h du soir on retourne chez
moi vider mon appartement, comme des voleurs.
Puis repos bien merité au Saint Melaine. Sauf que la, c'est les
yeux qui se reposent plus...
Plus tard, on rentre tous les deux à pied vers l'appart, heureux
d'avoir un chez nous. On se pieute rapidement, à même la moquette,
à la dure.
Contents que la journée se finisse, et heureux d'en être là.
vendredi 01 octobre 2004 (1 post)
lundi 11 octobre 2004 (1 post)
Oui bon ok, je poste pas beaucoup.
J'ai des remarques de gens du net, mais aussi de gens que je vois en vrai, voire de gens que je vois tous les jours, voire gens avec qui j'habite, pour me demander des news.
Alors soit, c'est parti.
On en était restés à l'entrée dans l'appart finalement. De ce côté là, pas grand chose de nouveau encore, bientôt on aura des chaises, bientôt une gazinière (oh oui un jour...). Une ballade à Caen va devoir s'imposer, d'ailleurs.
Et sinon, bah rentrée des classes, tout de même, m'enfin on peut pas dire que c'est ce qui m'a pris le plus de temps la semaine dernière, faut bien avouer, le diic3 c'est plutôt cool, en tout cas en LSI.
Une fin de semaine un peu agitée, c'était le weekend d'integration. J'ai pas très envie de raconter par le détail, ca n'aurait pas forcement beaucoup d'interet pour les gens qui n'y étaient pas, et puis y'aura des photos (417 du vendredi midi au dimanche midi. Je m'arrange pas moi. Ceci dit dans le lot, je pense que y'en a quand même quelques unes qui mériteront un retirage papier) qui vous permettront de découvrir le temps de chiotte qu'on a eu ce weekend.
En Bretagne, il pleut que sur les cons il paraît. On en avait une concentration au WEI, faut croire.
Sinon, bah le rosé c'est mal, surtout quand on est né quatre fois dans l'année. Un WEI en tant que tel plutôt réussi, mais on n'a pas vraiment réussi à en faire un weekend génial au niveau du groupe.
Faut dire que c'était pas le weekend pour, entre les relous et les absences obligées de ceux qui étaient membres de l'orga.
On retiendra quand même le frisbee sur la plage, la guitare, le "gringo", les discussions enfermés dans le refectoire, les massages, "encore un matin" et "tintintin".
Et puis ca nous apprendra à pas parler assez aux autres moments aussi. Faut qu'on règle notre petite tambouille entre nous, histoire de pas pourir le groupe avec les histoires qui ne concernent personne.
Un regret de pas avoir pu suffisament parler avec Sooh, mais bon, on en a parlé (de ça :) ). Ca sera pour une prochaine fois, c'était vraiment pas le weekend pour. On aura d'autre occasions (et je t'appelle, </messageperso>).
La semaine reprend, au radar. Un temps déprimant. Le mois de novembre qui commence en juillet et qui continue encore et encore, trop merci.
Et puis sinon, des envies me viennent.
Des envies de profiter. Des envies de profiter sans me poser de questions. Mais aussi des envies de me poser les questions. Voire d'essayer d'y repondre. Mais de prendre mon temps pour le faire.
Une sensation plutôt agréable, finalement...
J'ai des remarques de gens du net, mais aussi de gens que je vois en vrai, voire de gens que je vois tous les jours, voire gens avec qui j'habite, pour me demander des news.
Alors soit, c'est parti.
On en était restés à l'entrée dans l'appart finalement. De ce côté là, pas grand chose de nouveau encore, bientôt on aura des chaises, bientôt une gazinière (oh oui un jour...). Une ballade à Caen va devoir s'imposer, d'ailleurs.
Et sinon, bah rentrée des classes, tout de même, m'enfin on peut pas dire que c'est ce qui m'a pris le plus de temps la semaine dernière, faut bien avouer, le diic3 c'est plutôt cool, en tout cas en LSI.
Une fin de semaine un peu agitée, c'était le weekend d'integration. J'ai pas très envie de raconter par le détail, ca n'aurait pas forcement beaucoup d'interet pour les gens qui n'y étaient pas, et puis y'aura des photos (417 du vendredi midi au dimanche midi. Je m'arrange pas moi. Ceci dit dans le lot, je pense que y'en a quand même quelques unes qui mériteront un retirage papier) qui vous permettront de découvrir le temps de chiotte qu'on a eu ce weekend.
En Bretagne, il pleut que sur les cons il paraît. On en avait une concentration au WEI, faut croire.
Sinon, bah le rosé c'est mal, surtout quand on est né quatre fois dans l'année. Un WEI en tant que tel plutôt réussi, mais on n'a pas vraiment réussi à en faire un weekend génial au niveau du groupe.
Faut dire que c'était pas le weekend pour, entre les relous et les absences obligées de ceux qui étaient membres de l'orga.
On retiendra quand même le frisbee sur la plage, la guitare, le "gringo", les discussions enfermés dans le refectoire, les massages, "encore un matin" et "tintintin".
Et puis ca nous apprendra à pas parler assez aux autres moments aussi. Faut qu'on règle notre petite tambouille entre nous, histoire de pas pourir le groupe avec les histoires qui ne concernent personne.
Un regret de pas avoir pu suffisament parler avec Sooh, mais bon, on en a parlé (de ça :) ). Ca sera pour une prochaine fois, c'était vraiment pas le weekend pour. On aura d'autre occasions (et je t'appelle, </messageperso>).
La semaine reprend, au radar. Un temps déprimant. Le mois de novembre qui commence en juillet et qui continue encore et encore, trop merci.
Et puis sinon, des envies me viennent.
Des envies de profiter. Des envies de profiter sans me poser de questions. Mais aussi des envies de me poser les questions. Voire d'essayer d'y repondre. Mais de prendre mon temps pour le faire.
Une sensation plutôt agréable, finalement...
vendredi 15 octobre 2004 (1 post)
Et hop, quelques nouvelles de plus.
Notre nidamour s'embourgeoisise de plus en plus, maintenant on a même des chaises (et même propres). Un compte commun ouvert (mais avec pas de sous dessus), un banquier tout ce qu'il y a de plus banquier (amusé par le fait que je sois au CA Centre France, que Rom' soit au CA Champagne-Ardennes et qu'on ouvre un compte au CA Ille et Vilaine).
Par contre, même si on a décidé de toute façon de prendre le net, c'est une galère cette histoire. Vu qu'on n'a pas encore de ligne télephonique, on est bien obligés d'en ouvrir une. Hors, même si les frais de mise en service sont réduits de moitié pour les étudiants, ca reste quand même genre 13 ou 14 euros.
Et quand on ouvre une ligne chez FT, la durée minimale d'abonnement est d'un an, donc pas possible d'ouvrir une ligne et de degrouper totalement chez Free juste après. Enfin si, possible, mais on est quand même obligés de continuer à payer l'abonnement pour rien pendant un an, ce qui sommes toutes est quand même pas très cool.
J'avoue que perso, j'ai toujours été plus ou moins "pro-ft" service public toussa, mais là, pfff, relou quoi. On s'en cogne nous du télephone (surtout si on a une freebox). Encore un coup pour ligoter les utilisateurs ça.
Enfin bon, on verra bien ce qu'on décide.
Sinon, à part ça, un projet à l'ENST Bretagne, des contacts renoués pour un stage au CRI de Rennes 1, l'année s'annonce bien.
Il manque plus qu'une gazinière, finalement...
Notre nidamour s'embourgeoisise de plus en plus, maintenant on a même des chaises (et même propres). Un compte commun ouvert (mais avec pas de sous dessus), un banquier tout ce qu'il y a de plus banquier (amusé par le fait que je sois au CA Centre France, que Rom' soit au CA Champagne-Ardennes et qu'on ouvre un compte au CA Ille et Vilaine).
Par contre, même si on a décidé de toute façon de prendre le net, c'est une galère cette histoire. Vu qu'on n'a pas encore de ligne télephonique, on est bien obligés d'en ouvrir une. Hors, même si les frais de mise en service sont réduits de moitié pour les étudiants, ca reste quand même genre 13 ou 14 euros.
Et quand on ouvre une ligne chez FT, la durée minimale d'abonnement est d'un an, donc pas possible d'ouvrir une ligne et de degrouper totalement chez Free juste après. Enfin si, possible, mais on est quand même obligés de continuer à payer l'abonnement pour rien pendant un an, ce qui sommes toutes est quand même pas très cool.
J'avoue que perso, j'ai toujours été plus ou moins "pro-ft" service public toussa, mais là, pfff, relou quoi. On s'en cogne nous du télephone (surtout si on a une freebox). Encore un coup pour ligoter les utilisateurs ça.
Enfin bon, on verra bien ce qu'on décide.
Sinon, à part ça, un projet à l'ENST Bretagne, des contacts renoués pour un stage au CRI de Rennes 1, l'année s'annonce bien.
Il manque plus qu'une gazinière, finalement...
lundi 18 octobre 2004 (1 post)
C'est vraiment pas facile à expliquer. Surtout quand on passe deux
heures à essayer de convaincre qu'on est d'accords. Et que y'a pas
de soucis à se faire, au contraire.
Ralalah.
Ralalah.
mercredi 20 octobre 2004 (2 posts)
L'entendre et la lire.
L'entendre rire comme je ne l'avais pas entendu rire depuis longtemps. Un rire clair, enfantin. Un rire qui se pose pas de questions. Un rire qui se retient pas.
La lire pleurer comme ca me fait mal de la voir pleurer. Des pleurs qui ne s'arretent pas. Des pleurs d'amour et de haine. Des pleurs qui ne peuvent se retenir.
Je prefere l'avoir au téléphone, finalement, même si ça n'empechera pas le reste.
J'ai parfois l'impression d'être un peu perdu, au final, entre tous les cercles, toutes les relations sociales que j'ai tissé. Même si j'en ai pas mal laissé derrière moi ces derniers temps, même si je traine beaucoup moins sur le net et que ca «nettoie» pas mal.
Il reste des trucs confus, un peu partout. Des soucis, des trucs qui collent pas, tout ne va pas forcement pour le mieux.
Oh, moi, ça va, merci. Juste un peu l'impression qu'autour de moi, ça ne va pas, un peu partout, et que j'arrive pas à y changer grand chose. Sensation d'impuissance, plus ou moins vraie selon les cas, j'imagine. C'est ni la premiere ni la derniere fois que je ressens ça, non plus, ça passera (ou pas).
Des noms se balladent dans ma tête. Des visage que j'ai envie de revoir, des corps que j'ai envie de toucher, des mains que j'ai envie de prendre. Comme ça, pour rien, pour tout. Ça en rajoute autant à la confusion ambiante, finalement.
C'est peut être pour ça que je suis si crevé en ce moment, j'ai tellement de choses auxquelles penser...
L'entendre rire comme je ne l'avais pas entendu rire depuis longtemps. Un rire clair, enfantin. Un rire qui se pose pas de questions. Un rire qui se retient pas.
La lire pleurer comme ca me fait mal de la voir pleurer. Des pleurs qui ne s'arretent pas. Des pleurs d'amour et de haine. Des pleurs qui ne peuvent se retenir.
Je prefere l'avoir au téléphone, finalement, même si ça n'empechera pas le reste.
J'ai parfois l'impression d'être un peu perdu, au final, entre tous les cercles, toutes les relations sociales que j'ai tissé. Même si j'en ai pas mal laissé derrière moi ces derniers temps, même si je traine beaucoup moins sur le net et que ca «nettoie» pas mal.
Il reste des trucs confus, un peu partout. Des soucis, des trucs qui collent pas, tout ne va pas forcement pour le mieux.
Oh, moi, ça va, merci. Juste un peu l'impression qu'autour de moi, ça ne va pas, un peu partout, et que j'arrive pas à y changer grand chose. Sensation d'impuissance, plus ou moins vraie selon les cas, j'imagine. C'est ni la premiere ni la derniere fois que je ressens ça, non plus, ça passera (ou pas).
Des noms se balladent dans ma tête. Des visage que j'ai envie de revoir, des corps que j'ai envie de toucher, des mains que j'ai envie de prendre. Comme ça, pour rien, pour tout. Ça en rajoute autant à la confusion ambiante, finalement.
C'est peut être pour ça que je suis si crevé en ce moment, j'ai tellement de choses auxquelles penser...
lundi 25 octobre 2004 (2 posts)
On avait préparé ca en fourbes, sans rien dire, de notre côté de la
France. L'idée m'avait trotté depuis super longtemps dans la tête,
elle avait aussi fait son chemin dans leur tête à eux.
On avait envie de faire plaisir à Sooh pour son anniversaire.
Alors, ni vus ni connus, Julien, Delphine et moi, on s'est embarqués dans la voiture de Romaric, vendredi soir, après les cours.
L'IFSIC, la Rocade, Laval, Le Mans, Paris, la Francilienne, Troyes. On joue aux départements, à Il ou elle, on prépare notre mise en scène à l'arrivée.
Romaric est censé arriver en train, à 21h39. Il faut qu'on arrive avant à la gare. Le temps de manger à Troyes, on stresse, on a peur que Solène débarque et nous grille en flag. On se gare à la.. gare. Une voiture débarque, c'est la sienne. On se cache derrière un panneau, on court, pliés en deux. Romaric va sur le quai d'en face, à la Il était une fois dans l'ouest. Nous on se cache avec l'appareil photo sur le même quai, en esperant qu'elle ne nous voie pas.
Les retrouvailles sont houleuses, Solène ne comprenant pas ce qu'il fait sur le quai d'en face quand le train repart. A peine le temps de comprendre ce qu'il lui arrive, et voilà qu'on débarque.
Là, c'est le drame, completement déboussolée.
Et voilà le début d'un weekend excellent. On reprend la voiture, on dépose Rémi, un pote de Melina (et de Solène) (oui, faut suivre, désolé), on va chez Sooh où tout le monde est déjà au courant (gnihihi).
Un weekend plein de champagne, de chatons, de ballades dans les bois, de guitare, de flute, de Goldman, de matous qui reviennent, de sangliers, de calins, de massages, de papotages divers et variés, de soleil, de bronzage au soleil, de cadeaux (oui bah tout de même c'était son anniversaire hein), de photos (elles arrivent vendredi, si JP ou autre est interessé par une archive zip ca peut se faire, passez moi un ti mail).
Un regret que ca ait été trop court, que j'ai été un peu aveugle aussi. Peut être un peu abusé des bonnes choses (entre le champagne, le vin rouge et la goutte, forcement..).
Encore merci aux parents de nous avoir accueillis si bien.
Hier soir, un retour ensommeillé. 600km à faire dans l'autre sens. Encore du Il ou elle, des cafés dans les stations services, des troupeaux de vieux devant les machines à café, une arrivée sur Rennes, une dernière bière entre nous 4, avant de "dissoudre" la communauté de ce weekend. Les regards fatigués mais contents.
Encore, encore, encore !
On avait envie de faire plaisir à Sooh pour son anniversaire.
Alors, ni vus ni connus, Julien, Delphine et moi, on s'est embarqués dans la voiture de Romaric, vendredi soir, après les cours.
L'IFSIC, la Rocade, Laval, Le Mans, Paris, la Francilienne, Troyes. On joue aux départements, à Il ou elle, on prépare notre mise en scène à l'arrivée.
Romaric est censé arriver en train, à 21h39. Il faut qu'on arrive avant à la gare. Le temps de manger à Troyes, on stresse, on a peur que Solène débarque et nous grille en flag. On se gare à la.. gare. Une voiture débarque, c'est la sienne. On se cache derrière un panneau, on court, pliés en deux. Romaric va sur le quai d'en face, à la Il était une fois dans l'ouest. Nous on se cache avec l'appareil photo sur le même quai, en esperant qu'elle ne nous voie pas.
Les retrouvailles sont houleuses, Solène ne comprenant pas ce qu'il fait sur le quai d'en face quand le train repart. A peine le temps de comprendre ce qu'il lui arrive, et voilà qu'on débarque.
Là, c'est le drame, completement déboussolée.
Et voilà le début d'un weekend excellent. On reprend la voiture, on dépose Rémi, un pote de Melina (et de Solène) (oui, faut suivre, désolé), on va chez Sooh où tout le monde est déjà au courant (gnihihi).
Un weekend plein de champagne, de chatons, de ballades dans les bois, de guitare, de flute, de Goldman, de matous qui reviennent, de sangliers, de calins, de massages, de papotages divers et variés, de soleil, de bronzage au soleil, de cadeaux (oui bah tout de même c'était son anniversaire hein), de photos (elles arrivent vendredi, si JP ou autre est interessé par une archive zip ca peut se faire, passez moi un ti mail).
Un regret que ca ait été trop court, que j'ai été un peu aveugle aussi. Peut être un peu abusé des bonnes choses (entre le champagne, le vin rouge et la goutte, forcement..).
Encore merci aux parents de nous avoir accueillis si bien.
Hier soir, un retour ensommeillé. 600km à faire dans l'autre sens. Encore du Il ou elle, des cafés dans les stations services, des troupeaux de vieux devant les machines à café, une arrivée sur Rennes, une dernière bière entre nous 4, avant de "dissoudre" la communauté de ce weekend. Les regards fatigués mais contents.
Encore, encore, encore !
Encore un matin
Un matin pour rien
Une argile au creux de mes mains
Encore un matin
Sans raison ni fin
Si rien ne trace son chemin
Matin pour donner ou bien matin pour prendre
Pour oublier ou pour apprendre
Matin pour aimer, maudire ou mépriser
Laisser tomber ou résister
Encore un matin
Qui cherche et qui doute
Matin perdu cherche une route
Encore un matin
Du pire ou du mieux
A éteindre ou mettre le feu
Un matin, ça ne sert à rien
Un matin
Sans un coup de main
Ce matin
C'est le mien, c'est le tien
Un matin de rien
Pour en faire
Un rêve plus loin
Encore un matin
Ou juge ou coupable
Ou bien victime ou bien capable
Encore un matin, ami, ennemi
Entre la raison et l'envie
Matin pour agir ou attendre la chance
Ou bousculer les évidences
Matin innocence, matin intelligence
C'est toi qui décide du sens
Un matin, ça ne sert à rien
Un matin
Sans un coup de main
Ce matin
C'est le mien, c'est le tien
Un matin de rien
Pour en faire
Un rêve plus loin
Jean Jacques Goldman - Encore un matin
Un matin pour rien
Une argile au creux de mes mains
Encore un matin
Sans raison ni fin
Si rien ne trace son chemin
Matin pour donner ou bien matin pour prendre
Pour oublier ou pour apprendre
Matin pour aimer, maudire ou mépriser
Laisser tomber ou résister
Encore un matin
Qui cherche et qui doute
Matin perdu cherche une route
Encore un matin
Du pire ou du mieux
A éteindre ou mettre le feu
Un matin, ça ne sert à rien
Un matin
Sans un coup de main
Ce matin
C'est le mien, c'est le tien
Un matin de rien
Pour en faire
Un rêve plus loin
Encore un matin
Ou juge ou coupable
Ou bien victime ou bien capable
Encore un matin, ami, ennemi
Entre la raison et l'envie
Matin pour agir ou attendre la chance
Ou bousculer les évidences
Matin innocence, matin intelligence
C'est toi qui décide du sens
Un matin, ça ne sert à rien
Un matin
Sans un coup de main
Ce matin
C'est le mien, c'est le tien
Un matin de rien
Pour en faire
Un rêve plus loin
Jean Jacques Goldman - Encore un matin
jeudi 28 octobre 2004 (1 post)
Et hop, mise à jour de Gallery avec les 3 albums qui
manquaient. Je mettrai ptet d'autres trucs en vrac plus tard. Ou
pas.
vendredi 29 octobre 2004 (1 post)
Mais bon en même temps je ne m'en prendre qu'à moi même.
À chaque fois que je rentre à Paris (et en ce moment c'est genre 24h tous les mois, genre), je previens personne.
Du coup quand j'essaye d'organiser mes journées/soirées, bah c'est l'hécatombe. Je compte plus le nombre de refus polis (et parfaitement compréhensibles hein, je vous en veux pas, bisous :) ) que j'ai essuyé ce soir.
Mais pff, saoule quoi. Je suis pas là souvent, les occasions de voir les gens sont pas nombreuses, alors pourquoi faut que je gache tout à chaque fois.
Enfin bon, tant pis, ca sera pour une prochaine fois.
D'ici un mois.
Ou deux.
Ou pas.
.
À chaque fois que je rentre à Paris (et en ce moment c'est genre 24h tous les mois, genre), je previens personne.
Du coup quand j'essaye d'organiser mes journées/soirées, bah c'est l'hécatombe. Je compte plus le nombre de refus polis (et parfaitement compréhensibles hein, je vous en veux pas, bisous :) ) que j'ai essuyé ce soir.
Mais pff, saoule quoi. Je suis pas là souvent, les occasions de voir les gens sont pas nombreuses, alors pourquoi faut que je gache tout à chaque fois.
Enfin bon, tant pis, ca sera pour une prochaine fois.
D'ici un mois.
Ou deux.
Ou pas.
.
Images
Stats
Stuff