Il y a un peu plus de 18 mois, je me suis embarqué dans une nouvelle aventure. Après quelques vols avec un ami en DR400 et en Jodel, je me suis inscris dans un aéro-club à l'aérodrome de Lognes (LFPL) et j'ai débuté une formation de pilote privé. Le PPL est une licence reconnue internationalement qui permet de faire des vols non commerciaux. Elle est associé à une qualification de classe d'avions (comme SEP pour les avions monomoteur à piston) et permet de voler n'importe où dans le monde (ou disons pour l'instant n'importe où où le français est une langue officielle parlée par les contrôleurs aériens) avec des passagers, selon les règles du vol à vue.
Un peu comme le permis voiture, la formation comporte deux parties, théorique et pratique, avec un examen pour chacune. On peut commencer la formation pratique avant d'avoir la partie théorique (avant même de commencer d'ailleurs), et c'est même recommandé de faire les deux en parallèle, d'autant plus que de nos jours la majeure partie de la formation théorique est faite en ligne (il y a tout de même 10h de cours physiques).
En mars 2019, j'ai donc commencé les deux parties. La partie théorique couvre différents domaines: règlementation, mécanique du vol, météo, facteurs humains etc. et il est évidemment possible d'avancer en parallèle. La partie pratique est plutôt séquentielle et démarre par des exercices de maniabilité (virages, montées, descentes), puis les décollages, l'approche de l'atterrissage, puis l'atterrissage lui-même. Tout ça évidemment avec un instructeur assis à côté (l'élève est en place gauche mais c'est bien l'instructeur qui est commandant de bord, même si au fur et à mesure des leçons il pilote de moins en moins). Une fois les premiers atterrissages effectués on se concentre principalement là dessus en effectuant des tours de pistes: décollage, deux virages à 90°, remontée de la piste, puis nouveau virage en base, puis en finale, et atterrissage. En général on se contente d'un posé-décoller, pour multiplier les atterrissages et s'entraîner le plus possible.
Une fois que l'on sait décoller et atterrir dans les conditions optimales, on commence à s'entraîner (toujours avec instructeur à bord) pour les cas de panne: en particulier les pannes moteurs au décollage, mais aussi problèmes de volets etc., le tout en continuant les tours de piste et les atterrissages. À un moment l'instructeur considère l'élève prêt: il sort de l'avion et l'élève fait son premier vol solo: taxi, essais moteurs, décollage, un tour de piste et atterrissage.
De mon côté, j'ai appris le pilotage sur Aquila AT-01/A210, un petit deux places. Il est très léger (certaines versions sont considérées comme ULM), il pèse à peine 500 kg à vide, et le poids maximum est de 750 kg (avec carburant, passagers et bagages). Il ne va pas très vite (environ 100 nœuds ou 180 km/h), mais il est chouette à piloter. Comme il est très léger, il est très vite secoué par le vent, et dès que ça souffle un peu il est compliqué à poser car il veut continuer de planer (il a une finesse de 14). Au début j'ai réussi à pas mal voler (deux fois par semaine quand tout allait bien), donc la maniabilité s'est faite en environ 6 mois et 23 heures de vol. À ce moment là, mon instructeur est descendu de l'avion et j'ai fait mon premier vol solo. Tout s'est bien passé, sans grand stress, vue la préparation, et je n'ai même pas ressenti d'appréhension au final. Comme tout le monde dit, je pense que je m'en souviendrai toute ma vie, mais en pratique il ne s'est pas passé grand chose, hormis un petit sermon (gentil) du contrôleur sol lors du retour au parking après le vol: j'avais mal compris les instructions qu'il m'avait donné et je ne me suis pas arrêté comme indiqué (mais pas d'incursion de piste, tout va bien).
Après le premier solo, on continue les tours de pistes et du solo de temps en temps, et surtout on commence à faire des navigations: au lieu de rester à Lognes (LFPL) ou aux aérodromes alentours (LFPK à Coulommier, LFAI à Nangis), on peut commencer à préparer des vols un peu plus lointain, autour d'une demi-heure par exemple. Dans mon cas j'ai été à Moret-Episy (LFPU), à Troyes-Barberey (LFQB) et à Pontoise (LFPT). Pour préparer une navigation, il faut à la fois prévoir la route elle même (tracer la route sur la carte aérienne, préparer un « log de nav » avec les distances, les temps et les caps à disposition pendant le vol), mais aussi vérifier la météo, les informations règlementaires comme les NOTAM (Notice to Air Men), la quantité de carburant nécessaire etc. Pour moi, au début en tout cas, une préparation de vol me demandait entre une et deux fois le temps de vol effectif. La préparation initiale (navigation etc.) est complétée juste avant le vol par une dernière étude des conditions météo etc. Lors du briefing pré-vol (pendant la formation avec l'instructeur, puis au moment du test avec l'examinateur, et ensuite avec soi-même) on vérifie chaque domaine (navigation, météo, notam, carburant etc.) et à chaque fois on vérifie que tout est OK pour le vol. Dans l'aviation, beaucoup, beaucoup de choses tournent autour de la sécurité (ce qui se comprend, en cas de soucis il ne suffit pas simplement de lever le pied et se mettre sur le bas côté).
Une fois avoir pratiqué quelques navigations, on retourne vers les pannes, et en particulier quoi faire en cas de panne en campagne: panne moteur au milieu de nulle part, où il faut prévoir un atterrissage d'urgence, ou encore une panne radio. Là encore, une fois prêt (et, dans le cas de mon club, après avoir passé avec succès l'examen théorique), on commence les navigations solo (sur les 10h de vol solo nécessaire pour passer le test, il faut en avoir fait 5 en navigation). Dans mon cas, j'ai fait des navigation vers Troyes, puis Dijon-Darois (LFGI) et j'ai fait ma navigation trois-branches (nécessaire aussi pour passer le test) vers Chalons-Ecury (LFQK) et Pont-sur-Yonne (LFGO).
Juste après ça, quand je commençais à me sentir près pour le test, le confinement lié au COVID-19 a démarré, clouant au sol avions et pilotes pour plusieurs mois. Même après le déconfinement ça a été un peu compliqué de reprendre, et j'étais un peu rouillé et j'ai refais un peu d'entraînement. J'ai finalement passé le test au debut de l'été, mais le premier essai n'a pas été suffisant: j'étais vraiment très stressé, et honnêtement sans doute pas complètement prêt. Du coup j'ai fait un peu de réentraînement pendant l'été, et finalement, courant septembre, j'ai passé le test final, qui cette fois a été réussi.
Après un peu de paperasse (rendue un peu compliquée mais pas dramatiquement non plus par l'épidémie qui reprend un peu), ma licence de pilote privé est finalement arrivée au courier.
Et maintenant que je peux voler à peu près quand et comme je veux, l'automne est finalement là, avec un temps au mieux maussade. Du coup planifier des vols devient un peu compliqué. Pour l'instant, et même si techniquement je peux prendre des passagers avec moi, je refais quelques vols solos sur des terrains familiers. Avant de plus tard pouvoir emmener un passager avec moi en Aquila, et peut-être me faire lâcher sur un quatre places comme le DR400.
So Soldout, a band I really like, recently announced they were ending the adventure. They gave a last show last week in Brussels, but I couldn't manage to be there. Fortunately, the show was recorded and streamed live, so I was able to listen and watch. The show was really nice, and I actually listened to it multiple time, but video isn't the best format to hear it.
I decided to convert the video file to audio only, and split it so it'd be easier to listen. I don't really think I can share the result, but I guess I can share how to reproduce it.
First, the file is available on Soldout facebook page, it can be downloaded with:
Then we just need some ffmpeg calls to split the files at the correct offset. The timestamps for my splits are: 150.00 580.00 868.55 1153.05 1552.85 1795.82 2048.84 2349.04 2759.29 3043.32 3293.02 3499.34 3955.38 4247.52 4589.55 4881.19 5072.57 5390.38. Here are the relevant ffmpeg calls:
ffmpeg -ss 150.00 -to 580.00 -i "SOLDOUT was live.-531084120689596.m4a" -vn "SOLDOUT Live at AB - Ancienne Belgique/01. The call - We are soldout.m4a" ffmpeg -ss 580.00 -to 868.55 -i "SOLDOUT was live.-531084120689596.m4a" -vn "SOLDOUT Live at AB - Ancienne Belgique/02. Wasabi.m4a" ffmpeg -ss 868.55 -to 1153.05 -i "SOLDOUT was live.-531084120689596.m4a" -vn "SOLDOUT Live at AB - Ancienne Belgique/03. I can't wait.m4a" ffmpeg -ss 1153.05 -to 1552.85 -i "SOLDOUT was live.-531084120689596.m4a" -vn "SOLDOUT Live at AB - Ancienne Belgique/04. 94.m4a" ffmpeg -ss 1552.85 -to 1795.82 -i "SOLDOUT was live.-531084120689596.m4a" -vn "SOLDOUT Live at AB - Ancienne Belgique/05. Forever.m4a" ffmpeg -ss 1795.82 -to 2048.84 -i "SOLDOUT was live.-531084120689596.m4a" -vn "SOLDOUT Live at AB - Ancienne Belgique/06. My love.m4a" ffmpeg -ss 2048.84 -to 2349.04 -i "SOLDOUT was live.-531084120689596.m4a" -vn "SOLDOUT Live at AB - Ancienne Belgique/07. A drop of water.m4a" ffmpeg -ss 2349.04 -to 2759.29 -i "SOLDOUT was live.-531084120689596.m4a" -vn "SOLDOUT Live at AB - Ancienne Belgique/08. Oppression.m4a" ffmpeg -ss 2759.29 -to 3043.32 -i "SOLDOUT was live.-531084120689596.m4a" -vn "SOLDOUT Live at AB - Ancienne Belgique/09. I don't want to have sex with you.m4a" ffmpeg -ss 3043.32 -to 3293.02 -i "SOLDOUT was live.-531084120689596.m4a" -vn "SOLDOUT Live at AB - Ancienne Belgique/10. Mine (feat. John Stargasm).m4a" ffmpeg -ss 3293.02 -to 3499.34 -i "SOLDOUT was live.-531084120689596.m4a" -vn "SOLDOUT Live at AB - Ancienne Belgique/11. One word and the next.m4a" ffmpeg -ss 3499.34 -to 3955.38 -i "SOLDOUT was live.-531084120689596.m4a" -vn "SOLDOUT Live at AB - Ancienne Belgique/12. The Box (feat. Richard 23).m4a" ffmpeg -ss 3955.38 -to 4247.52 -i "SOLDOUT was live.-531084120689596.m4a" -vn "SOLDOUT Live at AB - Ancienne Belgique/13. I don't want to Have sex with you (Soldout vs. Girls in Hawaii).m4a" ffmpeg -ss 4247.52 -to 4589.55 -i "SOLDOUT was live.-531084120689596.m4a" -vn "SOLDOUT Live at AB - Ancienne Belgique/14. Do It Again.m4a" ffmpeg -ss 4589.55 -to 4881.19 -i "SOLDOUT was live.-531084120689596.m4a" -vn "SOLDOUT Live at AB - Ancienne Belgique/15. Get out.m4a" ffmpeg -ss 4881.19 -to 5072.57 -i "SOLDOUT was live.-531084120689596.m4a" -vn "SOLDOUT Live at AB - Ancienne Belgique/16. To the ocean.m4a" ffmpeg -ss 5072.57 -to 5390.38 -i "SOLDOUT was live.-531084120689596.m4a" -vn "SOLDOUT Live at AB - Ancienne Belgique/17. Dune.m4a" ffmpeg -ss 5390.38 -i "SOLDOUT was live.-531084120689596.m4a" -vn "SOLDOUT Live at AB - Ancienne Belgique/18. The flow.m4a"
You can also download the complete shell script here. Tagging is left as an exercise.
La collecte de données d'utilisateurs Facebook par Cambridge
Analytica a fait pas mal de
bruit récemment. Je ne suis pas moi-même utilisateur de
Facebook, mais j'utilise d'autres services comme ceux de Google,
connus pour leur collecte massive de données utilisateurs, et je
connais beaucoup de monde qui utilise Facebook quotidiennement.
J'ai aussi vu passer des tweets
de gens qui racontent la quantité de données personnelles
collectées par ces services.
Mozilla a récemment
publié une extension
Firefox permettant d'aider les internautes à limiter la collecte
de données par Facebook. Cette extension est en fait basée sur
les containers (ou contextes), que Mozilla
développe depuis plusieurs années. Ça a commencé par une
fonctionnalité expérimentale dans la version en
développement, puis comme une expérimentation test
pilot jusqu'à devenir une
extension complète nommée
Multi-Account containers. Une version réduite sans interface
de configuration est même intégrée directement dans
Firefox.
Les containers Firefox séparent le stockage local des sites
visités (cookies, préférences, sessions utilisateurs etc.) et
permettent à un utilisateur d'isoler les différents pans de sa
vie en ligne, en ne s'identifiant à un site que dans un
« contexte » spécifique. Un peu comme en ayant un profil
Firefox complet par site, mais en beaucoup plus pratique.
Personnellement j'utilise cette extension sans arrêt afin d'isoler
les différents sites où je suis identifié. J'ai un contexte pour
Google, un pour Twitter, un pour ma banque etc. Si j'utilisais
Facebook j'en aurais un pour Facebook, si j'utilisais gmail j'en
aurai un pour gmail. La navigation courante se fait dans le
container « par défaut » où je ne suis jamais identifié à
aucun site web, et où la collecte de données est donc plus minime
(j'utilise aussi l'extension uBlock
Origin pour limiter les pubs et le tracking).
Du coup, ma vie en ligne est compartimentée: Google n'associe pas
chacune de mes requête à mon compte (par ailleurs j'utilise
plutôt DuckDuckGo, Twitter ne
connait que les tweets que je regarde et je n'expose pas tous mes
cookies à tous les sites web.
Pour se servir de l'extension, la
page de téléchargement ainsi que celle de support sont
vraiment claires, mais globalement ça se passe comme ça:
on installe l'extension depuis la page, et on l'active ;
on crée de nouveaux contextes correspondant à son usage, via
le menu de configuration ;
on ouvre un onglet dans un contexte spécial en cliquant
longuement sur le + ou en utilisant contrôle+clic ;
le contexte courant est indiqué dans la barre d'URL ainsi que
par un liseré de couleur sous l'onglet ;
optionnellement, on peut assigner un site à un contexte, et il
s'ouvrira systématiquement dans ce contexte (par exemple
facebook.com s'ouvrira systématiquement dans le contexte Facebook,
ce qui est sans doute ce que fait l'extension récemment publiée
par Mozilla); ça permet de restreindre l'exposition des données
mais empêche par contre de regarder Facebook sans être
identifié
Une fois à l'intérieur d'un contexte, on peut en sortir en
faisant un clic droit sur un lien, en choisissant « Ouvrir dans
un nouvel onglet contextuel » et en sélectionnant « Sans
contexte ». De cette façon Facebook ne continuera pas le suivi
dans le nouveau contexte.
Autant que je sache il n'est pas encore possible d'avoir des
contextes jetables (détruits lors de la fermeture de l'onglet)
mais une requête
est ouverte à ce sujet et une autre
extension semble exister.
Au final, et même si l'isolation n'est peut-être pas complète,
je recommande fortement aux utilisateurs de Firefox d'essayer cette
extension. Je la trouve vraiment simple d'utilisation et elle aide
vraiment à conserver de saines frontières dans sa vie en
ligne.
Je ne sais pas s'il existe un équivalent pour Chromium (ou
Safari), mais si quelqu'un en connait n'hésitez pas à me
l'indiquer.
Tout d'abord, un grand grand merci. Un grand merci à Caravan Palace, pour avoir
joué hier soir, un grand merci au public pour avoir été si
bon.
Lorsque <|°_°|> (oui je ne sais pas non plus comment le
prononcer) est sorti, et que j'ai vu qu'il y avait un concert
prévu à Paris, je me suis tout de suite dit que ça se tentait.
Mais j'avais un peu zappé le truc, jusqu'à la sortie du concert
d'Archive, où on s'est dit que quand même le live, c'était
chouette. Malheureusement, à ce moment là, il n'y avait plus de
places, et les places d'occasion s'arrachaient comme des petits
pains, j'avais pratiquement renoncé à pouvoir y aller.
Fast-forward à la semaine dernière et les attentats du 13
novembre. Comme tout le monde, ça nous a bien secoué, et ça
continue. On ne sait toujours pas trop comment vivre avec ça,
comment avancer. Mais une des conséquences de ça, c'est que pas
mal de gens ont commencé à revendre des places pour le concert.
Sans trop réflechir, j'en ai récupéré deux. Pas par
militantisme, pas par héroïsme mal placé, et avec tout de même
un peu d'appréhension, soyons honnête.
Mais justement, sans verser dans le militantisme, s'il y a bien
une chose qui semble importante, c'est justement de ne rien
changer. Ni dans un sens, ni dans l'autre. Continuer, non pas comme
si de rien n'était, on ne pourra pas oublier ce qu'il s'est
passé, mais ne pas se laisser dicter ses réactions, ses actions,
son mode de vie.
Alors voilà, hier soir, devant l'Olympia, on ne savait pas
encore trop ce qui nous attendait, on était je pense tous un peu
mi-figue, mi-raisin. En ayant tout de même conscience que ce soir,
c'était spécial.
Première partie sympathique (Souleance), même si l'aspect
live est un peu déconvertant (musique uniquement
électronique, y compris les paroles, donc la présence scénique
se résume un peu à une table avec deux laptops et deux geeks
derrière). Puis arrive le moment attendu, et l'entrée en scène
de Caravan Palace (après que l'Olympia nous offre
gracieusement un entracte de vingt minutes, qui en dure
plutôt trente).
Et là, c'est la folie, dès le début. J'ai perdu le fil de la
setlist dès le début (j'essayerai de la retrouver à l'occasion),
mais ça a commencé très très fort. Le publique a commencé à
sautiller, à danser. Et ça a duré une bonne heure et demie, avec
à peine le temps de se reposer. Ça rockait, ça swingait, sans
s'arrêter.
Beaucoup d'émotion aussi. On sentait Zoé Colotis (la
chanteuse) au bord des larmes, quand elle a dit bonjour au nom du
groupe. Et à 21h20, une semaine pile après le début de l'attaque
au Bataclan, moment spécial : elle nous demande un cri, un
hurlement : pour ne pas oublier, pour montrer qu'on est là, pour
repousser la haine, pour crier, tout simplement. Et toute la salle
répond, hurle, se libère de ses démons.
Et ensuite c'est reparti, ça saute dans tous les sens. J'ai
rarement ressenti une telle rage de vivre et de jouer de la part
d'un groupe, et de son public. J'ai encore du mal à mettre des
mots sur autant d'émotion, j'avoue.
Alors encore une fois merci à vous, j'ai passé une soirée
merveilleuse, et je crois qu'on en avait tous besoin.
La cuvée 2013, donc, comme d'habitude en début d'année suivante. Une année pas très prolifique (17 films) mais bon. À noter une forte concentration au début de l'année (il fallait écluser les congés 2012 avant la fin mars) ainsi que fin octobre (suite à mon marathon).
Django Unchained : 22 janvier 2013, MK2 Beaubourg
Zero Dark Thirty : 7 février 2013, UGC Ciné Cité les Halles
Gangster squad : 13 février 2013, UGC Ciné Cité les Halles
Die Hard 5 : 1er mars 2013, UGC Montparnasse
No : 22 mars 2013, MK2 Quai de Seine
Cloud Atlas : 25 mars 2013, MK2 Quai de Loire
Mariage à l'anglaise : 12 avril 2013, MK2 Quai de Loire
Iron Man 3 : 19 mai 2013, UGC Ciné Cité Bercy
Prisoners : 26 octobre 2013, UGC Montparnasse
Sheriff Jackson : 26 octobre 2013, UGC Ciné Cité Les Halles
Malavita : 27 octobre 2013, UGC Ciné Cité Les Halles
Omar : 27 octobre 2013, UGC Ciné Cité Les Halles
La vie d'Adèle : 27 octobre 2013, UGC Ciné Cité Les Halles
Jeune & jolie : 28 octobre 2013, MK2 Parnasse
Blue Jasmine : 29 octobre 2013, UGC Ciné Cité Les Halles
Gravity : 30 octobre 2013, UGC Maillot
The lunchbox : 30 décembre 2013, UGC Ciné Cité Les Halles
Dans l'ensemble, là encore, un plutôt bon cru. Faut dire que quand on va moins souvent au cinéma, on sélectionne aussi plus, évidemment. Quelques petites déceptions (plus ou moins attendues, disons), mais aussi quelques pétites. J'ai déjà parlé de de la série Prisoners, Malavita, Omar, La vie d'Adèle et Gravity, mais j'ai aussi vraiment beaucoup apprécié The lunchbox, et évidemment Django Unchained.
Je suis pas raide dingue de la Tour Eiffel, mais à force de la voir tous les jours, voire à passer devant, on finit quand même par l'apprécier.
Et comme j'aime bien le principe des photos du jour, j'ai profité l'été dernier d'aller/retour sur le champ de mars pour en prendre, et monter ça en petite vidéo pour rigoler.
Évidemment il aurait fallu que ça dure un peu plus longtemps, mais ça rend pas si mal que ça…
C'est le moins qu'on puisse dire que notre fréquentation des
salles obscures a nettement baissé depuis trois ans. Quasiment
nulle la première année, on a réussi à augmenter quand même un
peu la fréquentation les années suivantes (merci les RTTs
d'ailleurs).
Ce coup ci, merci les vacances de la Toussaint. Profitant de
quelques jours d'absence des miss, puis du centre de loisir, je me
suis dit que j'allais me faire « quelques » toiles. N'ayant pas
fait les choses à moitié, voilà le résultat :
Dans l'ensemble, je suis vraiment content du lot, hormis
Sheriff Jackson, un peu moins bien et Blue
Jasmine (vraie déception pour le coup). Dans la grande
majorité des cas (en fait tout sauf La vie d'Adèle et
Gravity) je n'avais pas la moindre information sur le
film, et j'ai donc choisi à l'horaire (c'est en fait pas si
évident que ça de caler trois films dont un de trois heure dans
la même journée).
Une mention spéciale à Prisoners
et Malavita, ainsi que La vie d'Adèle.
Je crois que l'année dernière j'avais même pas fait de post,
tellement on était allés voir peu de choses. Cette année, on
s'en est plutôt pas trop mal tirés. Surtout vers la fin, grâce
aux contributions très appréciées de nos baby-sitters. Alors
c'est sur que ça n'a rien à voir avec la grande époque, mais
tout de même.
Sans attendre, donc, le cru 2012 :
The Artist : 2 mars 2012, MK2 Gambetta
My week with Marylin: 21 avril 2012, MK2 Quai de Loire
The Avengers : 7 mai 2012, UGC Ciné Cité les Halles
Moonrise Kingdom : 18 mai 2012, UGC Ciné Cité les Halles
La part des anges : 3 juillet 2012, UGC Ciné cité les
Halles
À perdre la raison : 7 septembre 2012, MK2 Quai de Seine
Starbuck : 9 septembre 2012, Gaumont Rennes
The We and the I, 2 octobre 2012, UGC Ciné Cité Les
Halles
Skyfall: 1er novembre 2012, UGC Ciné Cité Les Halles
Une nouvelle chance : 27 novembre 2012, UGC Ciné Cité Les
Halles
Argo : 6 décembre 2012, UGC Ciné Cité Les Halles
Onze films, ça reste un peu léger pour rentabiliser une carte
UGC/MK2 illimité, mais bon. On notera une quasi complète
disparition du MK2, remplacé en grande partie par l'UGC des
Halles. Il faut dire que c'est direct en métro. Dans l'ensemble,
à part À perdre la raison, j'ai pas eu de mauvaise
surprise, je crois que j'ai vraiment tout aimé. Une mention
particulière pour The We and the I, je crois.
Tout le monde ne le sait peut être pas, mais mon prénom c'est
Yves-Alexis.
Beaucoup de gens m'appellent autrement, pour plein de raisons.
Les gens qui me connaissent bien m'appellent Yves-Alex
(surtout la famille) ou Yap, parce que c'est plus court.
Les gens qui me connaissent moins m'appellent Pierre-Alexis, ou
Pierre-Yves, ou encore autre chose, en général parce qu'ils sont
incapables de se rappeler un prénom de plus de trois syllabes,
parce que c'est trop original, parce que les prénoms composés
c'est compliqué.
Beaucoup de gens ne font tout simplement pas l'effort de le
retenir en fait. Personne ne fait vraiment exprès de se tromper,
ou de ne pas m'appeler par mon prénom. C'est juste que ça ne leur
viendrait pas à l'esprit que ça puisse me gêner. Je pense même
que certains trouvent même ça plutôt galère, et m'en veulent de
m'appeler comme ça (non pas que j'y sois pour quelque chose, moi
:). Les gens dont personne n'écorche le prénom ne se rendent sans
doute pas compte que ça puisse déranger, qu'à terme, c'est
pesant. J'ai parfois envie d'ignorer ceux qui se trompent, de
raccrocher aux gens en leur disant qu'ils se sont trompé de
numéro. C'est difficile à faire parce que, effectivement, ils ne
pensent pas à mal, ils ne le font pas exprès. Ils n'y font juste
pas attention.
Au final, très peu de personnes m'appellent par mon prénom
complet. Ça ne me dérange pas d'être appelé par des surnoms ou
des diminutifs, dans l'ensemble. En tout cas moins que par un autre
prénom que le mien.
Je me demande si tous les gens avec des prénoms un peu
compliqués, ou originaux, ou étrangers, ou composés, ressentent
ce genre de chose. J'ai fait avec pendant très longtemps (ça ne
date pas vraiment d'hier, les profs n'y arrivaient déjà pas au
primaire).
Mais, ces temps ci, ma fille commence à m'appeler Yap.
Et ça, j'avoue, j'ai du mal, un peu. Qu'elle connaisse le surnom,
qu'elle sache qui il désigne, voire qu'elle s'amuse avec (sa
cousine connaît les prénoms et les diminutifs de ses parents,
après tout), très bien. Mais si elle m'appelle autrement que papa
j'aimerais bien que ce soit par mon prénom… (à l'occasion si on
se croise, ça peut être bien d'éviter Yap en sa présence, vu
que ça marche quand même pas mal par l'exemple).
Allez-y, vraiment. Bon évidemment si vous avez détesté
Darjeeling ltd. ou The Royal Tenebaums vous
pouvez passer votre chemin, mais je sais pas s'il y a beaucoup de
monde dans ce cas là.
Si vous aimez l'univers de Wes Anderson, franchement allez-y,
c'est que du bon. Y'a pas un détail qui manque, la réalisation
est géniale, la bande son parfaite, les acteurs excellents, c'est
un film qui vous donne envie de sourire comme un niais (et de faire
des posts à l'avenant). Pour paraphraser Gad, c'est un peu un film
« qui vous transforme en Faudel ».
Je m'en suis pas rendu compte tout de suite parce que ce coup ci
c'est pas moi qui était au commandes. Mais en dépilant les photos
prises récemment, je me suis rendu compte que le compteur avait
bouclé une fois de
plus.
Ça veut quand même dire que, depuis le tout début, plus de
vingt mille photos ont été prises, ce qui n'est pas rien.
Évidemment, comme la dernière fois, ça veut pas dire que j'ai
gardé tout, et pour dire vrai j'ai pas vraiment envie de m'amuser
à regarder le nombre que j'en ai jetté (soit directement sur
l'appareil, soit après en les regardant). Mais tout de même,
c'est un gros jalon, encore.
La dernière fois, il s'était passé 887 jours (soit un peu
moins de deux ans et demi) entre la première et la dernière photo
de la boucle. Ce coup ci, il s'est passé 1219 jours, 9 heures, 36
minutes et 13 secondes, soit environ 3 ans et demi. Nettement plus
que la dernière fois, mais effectivement je pense que je me suis
sérieusement calmé, au moins au début. Sur la fin beaucoup
moins, mais j'avais des excuses.
Donc voilà, pas de bol j'avais jeté, à l'époque, la
IMG_0001.JPG (directement sur l'appareil, sans m'en rendre compte).
Et c'est Romaric qui a l'honneur de la IMG_9999.JPG (mais j'y suis
pour rien, c'est pas moi qui avait l'appareil à ce moment
là).
En regardant rapidement les concerts à venir sur le site de la
FNAC, je me suis rendu compte d'un truc marrant. En 2012,
(re)monteront sur scène, en France :
Je suis pas le dernier a adorer les groupes des seventies,
m'enfin quand même là, faut pas abuser. Ritchie Blackmore ça
fait trente ans qu'il joue du folk-rock médiéval, je sais pas
trop ce que ça va donner sur Smoke on the water quoi.
C'est peut être parce que cette année Noémie est avec nous
(depuis plus de 72h), ou peut être parce que les américains sont
revenus et que pour eux Halloween c'était signe de balade dans les
rues pour voir la gay pride déguisée en zombies. Peut être parce
que cette année (hormis Eurodisney et le parc Astérix) y'a pas eu
de battage médiatique autour de ça.
Cette année j'ai bien aimé Halloween. On a croisé un zombie
ou deux dans la rue, qui avaient en dessous de diz ans, et on a
même eu trois petits monstres qui sont venus sonner à la porte en
fin d'après-midi pour avoir des bonbons ! Bon par contre on
n'était absolument pas préparés, du coup on n'avait que des
bonbons au coquelicot du mariage à leur offrir, mais on leur a pas
dit, c'était rouge, ça s'est pas vu, par contre ils auront peut
être une surprise en les goûtant, ils essayeront de deviner ce
que c'était, et pis comme ils étaient moyennement déguisé ça
leur apprendra.
À petite dose, ça me va (et le doodle du jour était mignon, si
je puis dire. (ils ont vraiment d'énormes
citrouilles là bas).
Retour aux Riceys après le mariage. Non pas un voyage de noce
(encore que) mais plutôt en week-end festif entre potes. Festif
oui, mais studieux aussi.
Le constat de départ, c'est que Romaric & co possèdent
quelques arpents de vignes (saviez vous qu'un arpent n'est en fait
pas une unité de surface mais une unite de longueur ? il faudrait
dire « quelques arpents carrés ») en Champagne, et que la saison
des vendanges c'est à peu près maintenant.
Or, Romaric & co ça veut dire quelques paires de bras, mais
beaucoup plus. Et même avec juste « quelques » arpents (carrés)
de vignes, ça fait quand même un paquet de kilos de raisins (on
se rend pas très bien compte, mais ça produit ces bêtes là, en
fait). Et donc, qu'à eux tous, ils risquent de pas tout à fait
s'en sortir avant l'hiver, ce qui ferait un peu tache.
Longue histoire courte (et autres anglicismes), ils avaient
besoin d'un coup de main (et de plusieurs mêmes si possible) et
comme on est gentils, qu'on aime bien Romaric (et le champagne) et
que ça faisait l'occasion (et le larron) d'aller prendre l'air à
la campagne.
C'est assez agréable, en dehors du côté air pur de la
campagne, de se mettre un peu au travail physique, et faire
travailler autre chose que son cerveau et ses doigts. Se vider la
tête, travailler méthodiquement : se baisser, enlever les
feuilles, repérer les grappes, trouver la tige, mettre sa main
gauche dessous (pas derrière), donner un coup de sécateur (de
vendangette), récupérer la grappe dans la main gauche,
la déposer dans le seau, passer à la grappe suivante, puis au
plan suivant, vider le seau de temps en temps dans une caisse,
croquer dans une grappe à l'occasion histoire de reprendre un peu
de sucre.
Je sais pas si au bout d'une semaine à faire ça 8h par jour
j'en aurais pas un peu marre (sans doute que si) et si j'aurais pas
mal au dos (étonnamment je n'ai pas eu du tout mal au dos, par
contre j'ai eu mal au pied droit qui est resté plié tout le
temps, on peut pas tout avoir). Mais là, trois demi-journées,
c'était bien, c'était même un peu frustrant de partir avant la
fin, de pas arriver au bout, de finir le travail et d'avoir la
satisfaction d'en avoir terminé. L'année prochaine, si on remet
ça, pas de doute, il faut :
avoir des bottes avec soi (plutôt que les squatter) ;
acheter une paire de gants genre gants à huitre anti-coupures,
pour pas se découper les mains avec la vendangette ;
prévoir trois jours, voire un peu plus pour profiter du
avant/après et décharger un peu les organisateurs qui ont plein
de trucs à gérer.
Évidemment, l'année prochaine on sait pas ce qu'on fera à
cette période là et c'est encore un peu tôt pour commencer à
tirer des plans sur la comète, mais c'est tout de même quelque
chose qui m'a bien plu, un moment de partage, de repos mental, de
plaisirs sains, de grand air. Pas tout à fait des vacances, mais
pas loin quand même.
(avec ça, si Romaric nous rembauche pas l'année prochaine, je
sais pas ce qu'il lui faut…)
Un week-end ma foi fort sympathique, comme on aimerait en avoir
plus souvent (mais quand même pas trop, rapport à la fatigue et
au lever de coude). Du soleil, du grand air, du Champagne (plein de
Champagne), des essayages, et plein de discussions. En fait, ça
m'a fait beaucoup de bien de me retrouver avec Delf & Rom le
temps d'un weekend, un peu comme au bon vieux temps. Les choses ont
bougé depuis, évidemment, mais dans l'ensemble plutôt dans le
bon je trouve. Elles ne sont pas forcément plus faciles maintenant
qu'à l'époque et les situations respectives sont parfois encore
un peu compliquées, mais je trouve qu'on s'en sort plutôt bien,
au final.
Et c'est très agréable de partager ces moments, dans le train,
dans la voiture, autour d'une table, sur un canapé, avec ou sans
coupe de Champagne. À parler de tout et de rien, de choses
triviales et de choses sérieuses. À plaisanter, à être bien
ensemble, à juste profiter.
Évidemment, on n'était pas là que pour profiter du soleil et
du Champagne, on avait une mission, qui fût brillamment remplie
(et j'en remercie du fond du cœur mes deux acolytes, même si ça
risque de se reproduire pas mal ces temps ci) dans la joie et la
bonne humeur. Même si ça pouvait limite passer pour un avant
goût d'enterrement de vie de garçon, ce n'était pas du tout le
cas, on y allait pour avancer sur le mariage, pas pour jouer au
casino ! Me voilà donc habillé, au moins en partie, pour
l'événement.
Et de fait, ça concrétise vachement les choses de s'en occuper
en vrai (y compris faire chauffer la carte bancaire), de commencer
les plans concrets sur le Champagne (ha bin oui c'est pour ça
hein, il fallait goûter), voir combien on en veut, quel genre, à
quel moment etc. Ça fait vraiment du bien de bouger sur
l'organisation, de tirer des plans un peu moins sur la comète, de
cocher les cases, voir les jours enfin se rapprocher de la date,
après le report d'un an, le fait que les choses aient été
décalées renforce aussi le besoin d'avancer vraiment dans le
concret. (Et le désir s'accroît quand l'effet se
recule).
Alors voilà, un weekend vraiment fabuleux, riche en émotions,
même si elles n'étaient pas toutes complètement joyeuses. Et
oui, j'en veux encore des comme ça...
L'année avait plutôt bien commencé, mais on s'est comme qui
dirait arrêtés au 28 octobre, donc on a finalement deux mois de
moins que les années passées.
Tout d'abord, la liste :
La merditude des choses : 1er janvier 2010, MK2 Quai de
Seine
Les chats persans : 8 janvier 2010, MK2 Quai de Seine
Avatar : 15 janvier 2010, MK2 Quai de Loire
A serious man : 21 janvier 2010, MK2 Quai de Seine
Sûmo : 28 janvier 2010, MK2 Quai de Seine
In the air : 29 janvier 2010, MK2 Quai de Seine
Lebanon : 5 février 2010, MK2 Quai de Seine
Brothers : 12 février 2010, MK2 Quai de Seine
I love you Phillip Morris : 19 février 2010, MK2 Quai de
Loire
Shutter Island : 26 février 2010, MK2 Quai de Loire
An education : 5 mars 2010, MK2 Quai de Seine
A single man : 12 mars 2010, MK2 Quai de Loire
Soul kitchen : 19 mars 2010, MK2 Quai de Seine
Green zone : 25 avril 2010, MK2 Quai de Seine
Iron man 2 : 30 avril 2010, MK2 Quai de Loire
L'arnacœur : 7 mai 2010, MK2 Quai de Loire
Hedwig and the angry inch : 9 mai 2010, MK2 Quai de Seine
El secreto de sus ojos : 13 mai 2010, MK2 Quai de Seine
Film socialisme : 21 mai 2010, MK2 Quai de Loire
Les secrets : 28 mai 2010, MK2 Quai de Seine
Prince of Persia : 4 juin 2010, MK2 Quai de Loire
When you're strange : 18 juin 2010, MK2 Quai de Loire
L'illusionniste : 25 juin 2010, MK2 Quai de Seine
La disparition d'Alice Creed : 2 juillet 2010, MK2 Quai de
Seine
Petits meurtres à l'anglaise : 9 juillet 2010, MK2 Quai de
Seine
Tamara Drew : 16 juillet 2010, MK2 Quai de Loire
Predators : 17 juillet 2010, UGC Ciné Cité les Halles
Inception : 23 juillet 2010, MK2 Quai de Loire
Night & Day : 30 juillet 2010, MK2 Quai de Loire
Droit de passage : 8 août 2010, MK2 Gambetta
Tournée : 13 août 2010, MK2 Quai de Seine
The expandables : 20 août 2010, MK2 Quai de Loire
Le bruit des glaçons : 27 août 2010, Mk2 Quai de Seine
Cleveland contre Wall Street : 3 septembre 2010, MK2 Quai de
Seine
Miral : 17 septembre 2010, MK2 Quai de Loire
The Town : 24 septembre 2010, MK2 Quai de Seine
Simon Werner a disparu : 1 er octobre 2010, MK2 Quai de
Loire
Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu : 8 octobre
2010, MK2 Quai de Loire
Moi, moche et méchant : 22 octobre 2010, MK2 Quai de
Seine
Soit 39 films en 42 semaines, c'est pas si mal, surtout que
l'année dernière on était à 41 sur 52 semaines. 38 MK2
(21 Quai de Seine, 16 Quai de Loire et un Gambetta, histoire de
tester les environs), un intrus (UGC Ciné Cité des
Halles, il fallait bien ça pour Predators) (ou pas).
Une écrasante majorité de canal, donc, mais ça ne
surprendra personne.
Dans l'ensemble je suis plutôt content de cette année, et
même un peu frustré d'avoir « loupé » potentiellement 10 films
(en fait sans doute plutôt 7 ou 8 maximum) (ma fille en prendra
pour 20 ans de psys quand elle lira ce post, mais en même temps
quand elle lira les débuts du blog ça sera encore pire). Je crois
que c'était plutôt un bon cru, à vrai dire.
Les quelques films qui se sont démarqués, pour moi, c'est
Avatar (qui m'a dégoutté de la 3D, et que je suis bien
content d'avoir offert en DVD version longue et 2D à Marie),
Lebanon (un huis-clos bien stressant, une prise de son qui
vous scotche dedans), La disparition d'Alice Creed (sans
doute mon préféré de
l'année), Night & Day (pour le côté second
degré).
Maintenant il va falloir songer à rendre les cartes illimitées
et voir du côté des vidéo-clubs et autre VOD.