Hmh, pleins de nouveaux troucs en fait. Enfin pleins de jours
depuis le dernier post, surtout. Pas vraiment eu le temps de poster
en fait, il faut bien l'avouer, c'est pas simplement par manque de
motivation.
Les éléments se sont un peu téléscopé, pour au final aboutir à une
absence quasi totale du net pendant une bonne semaine, ce qui fait
du bien un peu de temps en temps, de faire autre chose, tout
ça.
Pendant ce temps là j'ai quand même eu le temps d'aller observer
des bubulles géantes, voire
des couchers de soleil
(ce qui ne surprendra personne, évidemment).
Une bonne semaine de sevrage, et ça va continuer encore un peu. Du
net que le soir, ça restreint sévèrement la quantité de troucs
qu'il est possible d'y faire, mais ça évite le gaspillage
finalement, il suffira d'optimiser.
samedi 10 février 2007 (4 posts)
Une semaine pas encore routinière, puisque les habitudes n'ont pas
vraiment encore eu le temps de s'installer, mais ça pourrait le
devenir. Pas grand chose à signaler en fait, un canal un peu
modifié pour cause d'horaires et de durée pas vraiment compatibles
avec le MK2 Burger. Le MK2 hot-dog est pas si mauvais que ça, au
final, d'ailleurs, même s'il reste tout de même un peu léger.
Stay tuned.
Stay tuned.
Ces derniers temps, dans le métro, je me suis relu la trilogie du
Guide Galactique. Ça faisait un certain temps que je ne
l'avais lu, et ça me manquait un peu, à force de le préter et de se
souvenir de bouts par ci par là, ça devenait plus frustrant
qu'autre chose. Surtout qu'il avait été pendant un certain temps à
l'autre bout du monde, et qu'il n'était revenu que pour repartir au
fin fond de la banlieue parisienne, ce qui n'est pas tellement plus
proche que Los Angeles, finalement.
Mais toutes les trilogies (même en cinq volumes) ont une fin, et donc je me suis retrouvé, une fois de plus, à cours de bouquins (bon c'est pas tout à fait vrai, j'ai encore un tome des aventuriers de la mer à lire, mais je crois que je vais attendre la sortie de la suite, voire même de la fin, pour m'y mettre, parce que sinon ça va encore être super frustrant). Mais toutes ces histoires d'univers qui font n'importe quoi et tout, de probabilités improbables, d'univers qui se retournent comme des gants et de bistromathique, ça m'a donné envie de continuer dans cette branche là. Et je me suis aperçu que dans ma bibliothèque trainait (depuis de longues années, d'ailleurs) Dieu joue-t'il aux dés (les mathématiques du chaos), de Ian Stewart. Exactement ce qu'il me fallait.
J'ai donc commencé, petit à petit, dans le métro, et après deux trajets il m'est apparu clairement qu'il fallait que je retrouve mon formulaire de PCSI/PSI, histoire de me remettre un peu en tête de quoi il parlait. De suite ça va nettement mieux en ayant les formules sous les yeux. Et puis même si cest quand même vraiment matheux sur plein de points, il est relativement didactique (c'est quand même un peu de la vulgarisation sur les bords), mais faut s'accrocher. C'est marrant aussi parce que le bouquin a été écrit à un moment où les ordinateurs commençaient à se répandre, donc il donne un peu des exemples de codes (en basic) ou propose d'implémenter certains calculs à l'ordinateur. Bon l'ennui c'est que quand je lis je suis jamais devant un ordinateur, mais sur le principe ça me donnerait envie de me remettre un peu à Maple (enfin sauf que j'ai plus de quoi le faire tourner, mais bon. Un scilab pourrait éventuellement compenser, vu que de toute façon on travaille en valeurs numériques, juste j'ai jamais vraiment appris à m'en servir). Mais tout de même, quand il arrive à des attracteurs, à des courbes de phases qui se replient sur elles mêmes pour donner des tores ou des attracteurs aux formes passablement compliquées, ça devient dur à suivre, on se croirait dans un film de Lynch.
(bon en fait elle est nase cette transition, mais vous ferez comme si)
Donc voilà, ce soir on est allé voir Inland Empire, le dernier Lynch. Pas vraiment de spoil à craindre, si vous aimez Lynch allez le voir, si vous aimez pas passez-vous en. Du pur Lynch tout craché, y'a pas à dire. Juste effectivement la vidéo ça fait bizarre et ça gache un peu le plaisir, mais je pense fermement que c'est fait exprès.
Mais toutes les trilogies (même en cinq volumes) ont une fin, et donc je me suis retrouvé, une fois de plus, à cours de bouquins (bon c'est pas tout à fait vrai, j'ai encore un tome des aventuriers de la mer à lire, mais je crois que je vais attendre la sortie de la suite, voire même de la fin, pour m'y mettre, parce que sinon ça va encore être super frustrant). Mais toutes ces histoires d'univers qui font n'importe quoi et tout, de probabilités improbables, d'univers qui se retournent comme des gants et de bistromathique, ça m'a donné envie de continuer dans cette branche là. Et je me suis aperçu que dans ma bibliothèque trainait (depuis de longues années, d'ailleurs) Dieu joue-t'il aux dés (les mathématiques du chaos), de Ian Stewart. Exactement ce qu'il me fallait.
J'ai donc commencé, petit à petit, dans le métro, et après deux trajets il m'est apparu clairement qu'il fallait que je retrouve mon formulaire de PCSI/PSI, histoire de me remettre un peu en tête de quoi il parlait. De suite ça va nettement mieux en ayant les formules sous les yeux. Et puis même si cest quand même vraiment matheux sur plein de points, il est relativement didactique (c'est quand même un peu de la vulgarisation sur les bords), mais faut s'accrocher. C'est marrant aussi parce que le bouquin a été écrit à un moment où les ordinateurs commençaient à se répandre, donc il donne un peu des exemples de codes (en basic) ou propose d'implémenter certains calculs à l'ordinateur. Bon l'ennui c'est que quand je lis je suis jamais devant un ordinateur, mais sur le principe ça me donnerait envie de me remettre un peu à Maple (enfin sauf que j'ai plus de quoi le faire tourner, mais bon. Un scilab pourrait éventuellement compenser, vu que de toute façon on travaille en valeurs numériques, juste j'ai jamais vraiment appris à m'en servir). Mais tout de même, quand il arrive à des attracteurs, à des courbes de phases qui se replient sur elles mêmes pour donner des tores ou des attracteurs aux formes passablement compliquées, ça devient dur à suivre, on se croirait dans un film de Lynch.
(bon en fait elle est nase cette transition, mais vous ferez comme si)
Donc voilà, ce soir on est allé voir Inland Empire, le dernier Lynch. Pas vraiment de spoil à craindre, si vous aimez Lynch allez le voir, si vous aimez pas passez-vous en. Du pur Lynch tout craché, y'a pas à dire. Juste effectivement la vidéo ça fait bizarre et ça gache un peu le plaisir, mais je pense fermement que c'est fait exprès.
Ce matin, je me reveille. J'ouvre les yeux pour la dernière fois de
cette grasse matinée, bien méritée. Les babillages de la maison que
j'entends en arrière plan sonore depuis le début de la matinée
commencent à s'étendre, les aller/venues, les courageuses qui
bossent, les courses à faire. La maison s'anime, et unilatéralement
la fin de la nuit est décidée.
Je profite des quelques instants à profiter de la chaleur du lit, mes yeux s'habituent à la lumière, mon regard erre sur la bibliothèque à la recherche de je ne sais quoi, les yeux dans le vague. Je balaye d'un bout à l'autre les livres que j'ai déjà lu, sans but précis. Quand soudain je suis accroché par un petit livre rouge qui dépasse. Ça ressemble au Manifeste du Parti Communiste que m'avait offert manue à Noël, après tout le monde, dans l'intimité de la chambre, parce que ça ne l'aurait sans doute pas fait sinon. Sauf que sa couverture de « petit livre rouge » a disparu depuis longtemps, et qu'il n'est pas à cet endroit là. Je m'interroge, fouillant dans ma mémoire embrumée à quoi pourrait-il bien correspondre. Achevant de me réveiller, j'arrive à la conclusion dramatique que je n'ai pas la moindre idée du bouquin auquel il correspond. La reflexion suivante est que ce n'est pas un de mes livres, et celle d'après est immédiate.
Je connais ce rouge. Je connais ce papier. C'est le papier du lapin blanc. Je suis maintenant tout à fait réveillé. Je ne sais pas précisement depuis combien de temps il est là, plus exactement je ne sais pas s'il était là depuis -avant- le faux départ ou non. Mais ça n'a pas d'importance sur le moment, je le sors de la bibliothèque, le toucher confirme mon intuition visuelle, c'est bien le papier chéri. Ce n'est pas un livre, c'est un paquet, on peut lire dessus qu'il va falloir patienter. L'écriture argentée que je commence à connaître et associer au rouge me chuchotte dans l'oreille que je vais devoir attendre quelques jours encore pour connaitre la raison de la présence de cet intru dans ma bibliothèque, et le laisser m'observer encore un peu quand je dors.
J'adore l'effet de surprise engendré par l'irruption de l'exterieur dans mon intérieur, par les indices laissé derrière, par le teasing induit. Je le pratique aussi, mais je frémis à penser que j'aurais pu ne pas le voir avant la date de péremption. Peut être n'est-ce pas très grave, et je pense que j'aurais été prévenu d'une façon ou d'une autre, mais tout de même. Maintenant je m'arme de patience, et continue de lui jetter des regards de temps en temps, comme s'il allait se déployer tout seul, et qu'un lapin allait en sortir.
Je profite des quelques instants à profiter de la chaleur du lit, mes yeux s'habituent à la lumière, mon regard erre sur la bibliothèque à la recherche de je ne sais quoi, les yeux dans le vague. Je balaye d'un bout à l'autre les livres que j'ai déjà lu, sans but précis. Quand soudain je suis accroché par un petit livre rouge qui dépasse. Ça ressemble au Manifeste du Parti Communiste que m'avait offert manue à Noël, après tout le monde, dans l'intimité de la chambre, parce que ça ne l'aurait sans doute pas fait sinon. Sauf que sa couverture de « petit livre rouge » a disparu depuis longtemps, et qu'il n'est pas à cet endroit là. Je m'interroge, fouillant dans ma mémoire embrumée à quoi pourrait-il bien correspondre. Achevant de me réveiller, j'arrive à la conclusion dramatique que je n'ai pas la moindre idée du bouquin auquel il correspond. La reflexion suivante est que ce n'est pas un de mes livres, et celle d'après est immédiate.
Je connais ce rouge. Je connais ce papier. C'est le papier du lapin blanc. Je suis maintenant tout à fait réveillé. Je ne sais pas précisement depuis combien de temps il est là, plus exactement je ne sais pas s'il était là depuis -avant- le faux départ ou non. Mais ça n'a pas d'importance sur le moment, je le sors de la bibliothèque, le toucher confirme mon intuition visuelle, c'est bien le papier chéri. Ce n'est pas un livre, c'est un paquet, on peut lire dessus qu'il va falloir patienter. L'écriture argentée que je commence à connaître et associer au rouge me chuchotte dans l'oreille que je vais devoir attendre quelques jours encore pour connaitre la raison de la présence de cet intru dans ma bibliothèque, et le laisser m'observer encore un peu quand je dors.
J'adore l'effet de surprise engendré par l'irruption de l'exterieur dans mon intérieur, par les indices laissé derrière, par le teasing induit. Je le pratique aussi, mais je frémis à penser que j'aurais pu ne pas le voir avant la date de péremption. Peut être n'est-ce pas très grave, et je pense que j'aurais été prévenu d'une façon ou d'une autre, mais tout de même. Maintenant je m'arme de patience, et continue de lui jetter des regards de temps en temps, comme s'il allait se déployer tout seul, et qu'un lapin allait en sortir.
dimanche 11 février 2007 (1 post)
Enfin le weekend, donc, et compensation niveau net. Passé la
journée à bidouiller, à droite à gauche, à butiner, à tester des
troucs, du pur geekisme, comme j'aime bien de temps en temps (en
vrac, installer linux 2.6.20, trouver un bug et le corriger,
bidouiller avec mod_security pour apache, trifouiller dans mes
packages).
Et puis surtout, profiter du weekend pour écouter tranquillement le vinyl de Londinium, arrivé dans la semaine. Et autant dire que c'est une tuerie, du pur bonheur. On a tendance à l'adorer de toute façon, cet album, mais là, c'est vraiment absolument génial, c'est vraiment dommage qu'il soit si introuvable ><.
Et puis surtout, profiter du weekend pour écouter tranquillement le vinyl de Londinium, arrivé dans la semaine. Et autant dire que c'est une tuerie, du pur bonheur. On a tendance à l'adorer de toute façon, cet album, mais là, c'est vraiment absolument génial, c'est vraiment dommage qu'il soit si introuvable ><.
mercredi 14 février 2007 (1 post)
Rien de spécial, juste un test via
Vivelame:
You are :
Indiana Jones : 83%
Eric Draven (The Crow) : 77%
Maximus (Gladiator) : 77%
Néo (Matrix) : 74%
Forrest Gump : 73%
Jim Levenstein (American Pie) : 73%
Hannibal Lecter : 73%
Yoda (Star Wars) : 70%
Tony Montana (Scarface) : 69%
James Bond : 68%
Batman / Bruce Wayne : 68%
Schrek : 68%
You are :
Indiana Jones : 83%
Eric Draven (The Crow) : 77%
Maximus (Gladiator) : 77%
Néo (Matrix) : 74%
Forrest Gump : 73%
Jim Levenstein (American Pie) : 73%
Hannibal Lecter : 73%
Yoda (Star Wars) : 70%
Tony Montana (Scarface) : 69%
James Bond : 68%
Batman / Bruce Wayne : 68%
Schrek : 68%
dimanche 25 février 2007 (1 post)
I'm now just back from FOSDEM
in Brussels. Well I was back few hours ago, but now I've eaten,
I've send the signed keys from the KSP, pictures are on their
waythere, it's
time to post.
First, I'd like to really thanks Wouter for the Hosting near Brussels, Madcoder for the trips, and everyone in FOSDEM organization. From my point of view, it was flawless. We had wifi when they promise it, and it works great during all the weekend, we had food and beer at good prices, people were kind etc. Really really thank you.
It was my first "international" meeting, one month after my first "national" meeting at Solutions Linux. First time I met so much FOSS developers, and especially Debian ones. Lot of people I didn't know, lot of people I still don't know, but which I was glad to hear of, to see talks...
I was especially interested by sunday talks, netconf from madduck, and Debian Internals by Enrico, which were really nice (and netconf seems promising).
It was really short, and exhausting, but it made me want to go to Edimburgh for Debconf7, but I really don't know if I'll be able to do this. (nor if I would want to leave for a week 'alone' ...)
In the end, it was a quite improvised week-end, but a really nice one.
First, I'd like to really thanks Wouter for the Hosting near Brussels, Madcoder for the trips, and everyone in FOSDEM organization. From my point of view, it was flawless. We had wifi when they promise it, and it works great during all the weekend, we had food and beer at good prices, people were kind etc. Really really thank you.
It was my first "international" meeting, one month after my first "national" meeting at Solutions Linux. First time I met so much FOSS developers, and especially Debian ones. Lot of people I didn't know, lot of people I still don't know, but which I was glad to hear of, to see talks...
I was especially interested by sunday talks, netconf from madduck, and Debian Internals by Enrico, which were really nice (and netconf seems promising).
It was really short, and exhausting, but it made me want to go to Edimburgh for Debconf7, but I really don't know if I'll be able to do this. (nor if I would want to leave for a week 'alone' ...)
In the end, it was a quite improvised week-end, but a really nice one.
lundi 26 février 2007 (1 post)
Kiss me, kick me, anyway you want it
Just dont leave me hanging on
Smack me, slap me, anyway you like it
Just dont leave me at your feet
Please me, tease me, satisfy my needs
Your passion has me hypnotized
Feel me, heal me, wanna see the real me
Dance until you're paralyzed
You're a bad boy, i'm a dirty girl
You're a bad boy, i'm a dirty girl
You're a bad boy, i'm a dirty girl
You're a bad boy, i'm a dirty girl
You're a bad boy, i'm a dirty girl
You're a bad boy, bad bad boy
Kiss me, kick me, anyway you want it
Just dont leave me hanging on
Smack me, slap me, anyway you like it
Just dont leave me at your feet
Please me, tease me, satisfy my needs
Your passion has me hypnotized
Feel me, heal me, wanna see the real me
Dance until you're paralyzed
You're a bad boy, i'm a dirty girl
You're a bad boy, i'm a dirty girl
You're a bad boy, i'm a dirty girl
You're a bad boy, i'm a dirty girl
You're a bad boy, i'm a dirty girl
You're a bad boy, bad bad boy
Just dont leave me at your feet
Turn me, so gently?
Show me, all over me
Lay with me, turn me off
Stay with me, all night long
(x2)
Alice in Videoland - Bad boy
Just dont leave me hanging on
Smack me, slap me, anyway you like it
Just dont leave me at your feet
Please me, tease me, satisfy my needs
Your passion has me hypnotized
Feel me, heal me, wanna see the real me
Dance until you're paralyzed
You're a bad boy, i'm a dirty girl
You're a bad boy, i'm a dirty girl
You're a bad boy, i'm a dirty girl
You're a bad boy, i'm a dirty girl
You're a bad boy, i'm a dirty girl
You're a bad boy, bad bad boy
Kiss me, kick me, anyway you want it
Just dont leave me hanging on
Smack me, slap me, anyway you like it
Just dont leave me at your feet
Please me, tease me, satisfy my needs
Your passion has me hypnotized
Feel me, heal me, wanna see the real me
Dance until you're paralyzed
You're a bad boy, i'm a dirty girl
You're a bad boy, i'm a dirty girl
You're a bad boy, i'm a dirty girl
You're a bad boy, i'm a dirty girl
You're a bad boy, i'm a dirty girl
You're a bad boy, bad bad boy
Just dont leave me at your feet
Turn me, so gently?
Show me, all over me
Lay with me, turn me off
Stay with me, all night long
(x2)
Alice in Videoland - Bad boy
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