Echoes Corsac.net - Echoes camshot
samedi 01 octobre 2005 (1 post)
Fin de la première semaine de classe ("cours manue, on dit cours en français"). Le premier constat est quand même "vivement qu'on passe à quelque chose de plus serieux", mais, celà dit, y'a quelques cours que j'ai vraiment bien aimé.

CRYPTO, même si c'est des maths, parce qu'avoir un petit rappel sur des trucs que j'ai déjà vu, ça me permettra ptet de comprendre. Et puis ça a un côté marrant tout de même (mais bon si je me mets à trouver les maths marrantes, je suis mal barré).
BSEC (bases de la sécurité), parce que j'avais bien aimé l'année dernière la recherche d'algorithmes d'authentification, de chiffrements/dechiffrements, symétriques, asymétriques... Et que le deuxième cours était fait par un ingénieur de FT qui avait bossé sur les télécartes, et en était tout fier. Et merde quoi, les télécartes, y'a difficilement plus has been.
Ce qui a une certaine classe.

Sinon, concert de Soldout (oui, moi aussi je trouve que c'est un peu présomptueux, mais bon) ce soir. Aller à des concerts sans connaitre le groupe, c'est assez dangereux des fois. D'abord parce qu'on peut ne pas aimer, effectivement, mais j'avais assez confiance, en l'occurrence. Ensuite, parce qu'après apprecier le studio quand on a adoré le live, c'est délicat. Ça m'avait fait ça avec Merzhin, dont je ne retrouve pas dans les albums la pêche que y'avait en concert. Un peu pareil avec Operator, et donc, Soldout. Heureusement, ce qui sauve, c'est que c'est de la musique électronique, dont y'a pas autant de difference live/studio qu'avec un vraigroupe avec des vraisinstruments.

Bon pis ça commence à aller mieux, je commence à avancer, presque. Ou pas.

Tiens, faudrait que je range ma chambre un de ces quatre. Pis ma vie, aussi, par la même occasion.

Corsac@00:48:54 (Echoes)

dimanche 02 octobre 2005 (1 post)
Alors voilà, cette nuit a été blanche. Parce que, tout de même, je suis parti à Rennes l'année de la première édition de la Nuit Blanche, et que sa position en fin du mois de septembre m'empechait systematiquement d'être à Paris à ce moment là.

Maintenant que je suis revenu, je comptais bien rattraper mon retard, et passer une vraie Nuit Blanche, blanche. Completement improvisé celà dit, puisqu'aucun de nous n'avait de programme ou de plan, juste une vague idée d'un vague début, au Sacré Coeur, pour le parcours Chemin de paradis. Une fois à Montmartre, le plus urgent était de trouver un endroit où manger, ce qui, par les temps qui courraient, était sommes toutes assez aléatoire, vu le monde ambiant, ainsi que l'heure avancée (même si, Nuit Blanche aidant, les restaus devaient pas fermer si tôt que ça). Nous avons fini par trouver un restau relativement correct, quoique un peu bizarre, le serveur en tout cas. (un serveur qui prend à partie des clients dans une affaire entre d'autres clients et lui, ou entre un autre serveur et lui, c'est tout de même surprenant, et parfois franchement déplacé). M'enfin tout s'est bien passé, et vers onze heures et quart, on monte sur la butte Montmartre pour rejoindre le Sacré Coeur et prendre un café avec vue sur Paris. Et que quand même, Mulholland Drive c'est bien, la vue sur Los Angeles et le coffre aux trésors, oui, oui, évidemment. Mais tout de même, Paris, c'est bien. Et c'est un bonheur que d'y habiter.

On essaye de rentrer dans le Sacré Coeur, mais, à ce moment là du film, il est nettement trop tôt, et un vigile à l'entrée nous indique 1/2h d'attente. C'est pas qu'on est pressés (on a la nuit devant nous...), mais bon autant aller voir ailleurs. On suit donc le parcours, en observant les animations de la vie d'Œdipe, projetées sur les murs d'immeubles, puis dans le train fantôme (sans train & sans fantôme) de la Petite Ceinture, le tout jusqu'à Clignancourt. Au passage, on visite la mairie du XVIIIème, avec ses superbes toiles éclairées (sisi, j'insiste). Le parcours est relativement court, on est un peu sur notre faim là, mais il est sans doute encore trop tôt pour retourner au Sacré Cœur voir les 200 guitares s'ébattre, et puis à 6h du mat' elles seront 300, ça vaut sans doute le coup d'attendre. Du coup, direction stalingrad pour aller boire un coup, se poser un peu, en profiter pour croiser Lucie, qu'on n'avait pas vu depuis genre 4 ans. Ça surprend, de croiser comme ça quelqu'un de commun, qui se souvient de nous. Surtout quand elle dit "ah bin moi je suis graphiste, je bosse, j'ai un appart de 45m^2, un mec depuis trois ans et un poisson rouge.... mais heu, je le vis bien hein". Oui, sans doute, soit. Moi je suis à bac+5, j'ai mon diplôme (plôme) et je continue. Mpf.

Après ça, un petit tour au siege du Parti Communiste, où je n'étais jamais allé, pour assister à un genre de son & lumières. Vraiment sympa aussi, dans le genre, et la dimension mystique du lieu est vraiment marrant à observer. Dommage d'être dérangés par des djeunz qui braillent l'Internationale juste pour se moquer, mais bon. Après ça, direction la fontaine à mots (ou je sais pas comment ça s'appelle, vous comprendrez sur la video). Completement envoutant, scotchant, visuellement attractif, même sous la pluie. Surtout que là, il commençait à y avoir nettement moins de monde dans les rues, donc plus de facilité à marcher (encore que en revenant de clignancourt c'est pas comme si on avait été vraiment dérangés...). D'ailleurs, après, on est retourné au Sacré Coeur, parce que l'heure des guitares approchait. Re-café en arrivant, parce que quand même hein, faut pas se laisser abattre, et puis c'est si gentillement offert, après tout.

Puis, on arrive à se faufiler à l'interieur du Sacré Cœur, un petit tour, y'a pas de doute, y'a pleins de guitares. Pour l'instant ils ne jouent pas, c'est l'heure de la prière, donc on se pose en attendant. Petit à petit, les musiciens s'installent, les chefs d'orchestre se mettent en position, et les premiers accords retentissent. Doux au début, avec une basse continue qui se met en place assez rapidement, ressemblant étrangement avec de l'orgue, grâce à l'accoustique de l'église, et aux échos. Par dessus cette basse viennent s'enchevetrer les mélodies un peu plus aigues. Les deux côtés de la nef se parlent et se répondent, avant de s'unir, quand les 200 guitares grattent en même temps. La musique monte vers le ciel, les spéctateurs, nous y compris restent bouche bée, pendant que le son se propage, avant de s'arrêter d'un coup, relayé par un tonnerre d'applaudissements. Vraiment impressionnant, ca vous retourne ce genre de choses. Le concert suivant, à 6h, était encore mieux, tout les guitaristes debout, plus de chefs d'orchestre, une sorte d'improvisation peut être (après tout, c'est beaucoup du gratouilli), on ne peut s'empecher d'onduler, des gens dansent dans les travées de l'église, d'autres sautillent. On perd un peu la notion du temps, on se laisse envahir par le son, on le laisse nous pénetrer. Une standing ovation concluera cette partie ci, les musiciens ne veulent pas s'arrêter, moi non plus, j'aimerais qu'ils continuent encore et encore, je suis bien, là, sur ce banc, je voudrais que ça s'arrète jamais, rester dans cette église, avec les guitares qui m'appaisent l'esprit, ne pas ressortir voir le lever du soleil.

Finalement, on levera le camp, pour rentrer à la maison pendant que le soleil se lève. Vraiment, l'idée de la Nuit Blanche, des parcours, j'adore, je pense que l'année prochaine je me débrouillerai pour refaire, en petit comité, avec des gens qui n'ont pas peur de marcher toute la nuit dans Paris illuminé, passer par les chemins détournés. Que du bonheur, en fait.

Je vous conseille fortement d'aller voir les quelques photos & vidéos, qui expliqueront mieux que moi la fontaine à mots, et les 200 guitaristes dans le noir, flous et avec un son pourri.

Corsac@10:14:43 (Echoes)

jeudi 06 octobre 2005 (1 post)
(tiens, j'ai déjà utilisé ce titre dans un post) (oui, l'autocompletion de firefox m'a trahi :/).

Une des justification des réseaux peer to peer, copies de musique, mais aussi des achats de single sur internet, est de pouvoir découvrir un groupe, un album ou une chanson, avant d'acheter l'album. Ça vaut ce que ça vaut, on y croit ou pas, n'empêche que y'a une part de vérité là dedans, je trouve.

Tout à l'heure, j'ai été acheter le cd d'un groupe que m'avait fait découvrir Romaric, Jamait. J'ai acheté en même temps le cd d'un groupe que m'avait fait découvrir Layne, Soldout. Dans les deux cas, je connaissais l'album à peu près par cœur, à force de l'avoir entendu. En concert, dans la voiture de Romaric, etc... Je savais que je voulais les acheter, depuis un certain temps (plus pour Jamait, d'ailleurs), mais j'ai pas forcement eu l'occasion, surtout que c'est des petits groupes, donc ils se trouvent pas partout (genre pour trouver Jamait à la fnac de Rennes...).

Résultat, l'achat du cd fait pas tout à fait le même effet que, par exemple (tiens c'était dans la même fnac, y'a, pfiou, 3 ans ?), quand j'ai acheté Proxima Estacion, ou quand j'ai acheté Londinium et Take my head ou encore le dernier Garbage, que je ne connaissais pas du tout avant. L'émotion d'ouvrir le cd, de s'enerver sur l'emballage plastique qui refuse de se déchirer, l'écoute de la première chanson, en se demandant si c'est un mistral gagnant ou pas...

Ce côté là, effectivement, il est déporté, avancé, mais je retrouve pas totalement la sensation, et c'est pour ça que je continue à acheter des cds dont je ne sais pas du tout s'ils me plairont.

Corsac@19:04:52 (Echoes)

dimanche 09 octobre 2005 (1 post)
Et hop, un WEI de plus. Vous avez de la chance, j'ai oublié ici ma batterie d'appareil photo, donc j'en ai aucune du weekend. Sinon, et bah c'était bien, mais je sais pas si j'ai très envie d'en parler, en fait.

Ah si, en fait.

Et ce soir si la muse est brune
Je voudrais la boire sur lie
Ne garder d'elle que l'écume
Le souvenir d'un oubli
.

Bonne nuit.

Corsac@23:26:07 (Echoes)

jeudi 13 octobre 2005 (1 post)
OK, tu t'en vas
C'est triste, et ça m'ennuie
Tu m'dis que j'glande rien et
C'est pour ça qu'tu t'fais la belle
OK, tu t'en vas
C'est triste, et ça m'ennuie
Mais si tu pouvais en partant
Descendre les poubelles!

T'es sûre que t'oublies rien?
Tu sais ce s'rait dommage
Veux-tu un coup de main
Pour boucler tes bagages?

Me fais pas ces yeux-là
On dirait qu'tu vas pas partir
Si tu penses revenir
Passe au bureau de tabac!

J'ai plus rien à fumer
Et j'boirai bien un verre
Si tu viens à renouer
Pense à ramener des bières!

OK, tu t'en vas
C'est triste, et ça m'ennuie
Tu m'dis que j'glande rien et
C'est pour ça qu'tu t'fais la belle
OK, tu t'en vas
C'est triste, et ça m'ennuie
Mais si tu pouvais en partant
Descendre les poubelles!

Cesse de t'lamenter,
Sûr que t'as raison
Faut changer d'horizon
Alors reste pas d'vant la télé

Tu m'dis des mots amères,
Arrête je t'en prie
Je te comprends aussi
C'est bientôt Mc Gyver!!!

OK, tu t'en vas
C'est triste, et ça m'ennuie
Tu m'dis que j'glande rien et
C'est pour ça qu'tu t'fais la belle
OK, tu t'en vas
C'est triste, et ça m'ennuie
Mais si tu pouvais en partant
Descendre les poubelles!

Je sais, c'est pas si facile
Les frais qu'ça va t'faire en ricylle
Tu sais, faut pas t'faire de bile
Jamais j'n'oublierai cet idylle

OK, tu t'en vas
C'est triste, et ça m'ennuie
Tu m'dis que j'glande rien et
C'est pour ça qu'tu t'fais la belle
OK, tu t'en vas
C'est triste, et ça m'ennuie
Mais si tu pouvais en partant
Descendre les poubelles!

Si d'aventure un jour,
Tu es seule et perdue,
Que tu ais fait le tour
De trop de superflue,

A l'instar d'une reine,
Je t'écrirai des vers
Si jamais tu ramènes
Du Picon pour les bières!

OK, tu t'en vas
C'est triste, et ça m'ennuie
Tu m'dis que j'glande rien et
C'est pour ça qu'tu t'fais la belle
OK, tu t'en vas
C'est triste, et ça m'ennuie
Mais si tu pouvais en partant
Descendre les poubelles!!!


Jamait - Ok tu t'en vas

(oui, je suis dans une periode Jamait.)

Corsac@19:55:00 (Echoes)

dimanche 16 octobre 2005 (1 post)
Ce soir, c'était la conférence (oui, on n'a pas trouvé d'autre mot, enfin on a utilisé celui là la première fois qu'on en a parlé, et c'est resté), de rentrée. En gros, on a fait subir à un panel de potes (vraiment potes) 2h (~1000) de photos sur le road trip aux États Unis. Avec les commentaires et tout. Un rythme acharné, histoire de pas y passer trop longtemps, avec le vin rouge pour agrémenter et pas leur laisser le temps de souffler, ni de se demander ce qu'ils faisaient là.

Evidemment, c'était beaucoup trop vite fait (mais bon on a un cœur, on pouvait pas leur infliger ça), beaucoup trop condensé, résumé. Mais, en regardant ces photos, ça m'a vraiment donné envie de repartir, à Monument Valley, au Grand Canyon, à White Sands, à Telluride, à Zabriskie Point... Envie de reconduire sur la 62, bref, enfin de refaire un road trip. Je crois que je vais continuer à y songer...

Corsac@00:29:33 (Echoes)

vendredi 28 octobre 2005 (1 post)
Alors oui voilà, ce weekend, c'était ma remise des diplômes (plômes) (oui je vais être chiant comme ça pendant tout le post, avec de la chance y'en aura pas trop, mais plaignez vous, j'ai été comme ça en vrai pendant toute la remise, et autant dire que y'en a eu un paquet des "plômes"). C'était un peu artificiel pour moi, nous, vu que ça intervient pas mal de temps après la fin des cours, même du stage, après la publication des résultats, après le weekend d'intégration, après le début des cours dans ma nouvelle formation.

Bref, sans être totalement banal, c'est vrai que c'était plus une bonne occasion pour retourner à Rennes et voir les gens qu'autre chose, enfin quand je suis parti en tout cas. Débarquer sur Rennes, boire une bière avec le Pilou, casser la graine, rejoindre l'IFSIC, s'apercevoir qu'on est une heure en avance, retourner boire une bière avec Pilou & ses parents, revenir déjà un peu moins frais une heure après, supporter pendant des heures la conférence sensée expliquer aux parents ce qu'on était sensés avoir fait pendant 3h, aux horaires ou on buvait des demis en jouant au billard ou au tarot. Je sais pas si dans les parents présents y'en a qui ont une vague idée de ce qu'on a fait (à part le demi, le billard et le tarot je veux dire). Après, remise des diplômes (plômes) proprement dite (te), défilé des gens sur scène, remerciements, signature des diplômes (plômes) et patin coufin. Ça m'a fait plaisir qu'ils soient vraiment signés à la main, d'ailleurs, et pas que ce soit une vague photocopie. Au moment de monter sur scène récuperer le mien, et bah, j'avais beau faire le fier et trouver ça banal, bah j'ai vraiment eu un serrement au cœur. Parce que tout de même, trois années de ma vie, trois années *vraiment* importantes de ma vie, qui viennent d'être conclues par la remise de ce bout de papier. Ça fait tout de même quelque chose...

Après la distribution, on est passés aux choses serieuses, à savoir le cocktail, et j'ai bien aimé pouvoir discuter pendant au moins une heure avec Pilou & Rom, avec le reponsable du DIIC actuel, histoire de lui confier un peu nos avis, nos pours, nos contres, et tout le toutim, le tout autour de 4 ou 5 coupes de mousseux. (pas de photocopie de signatures, mais pas de Champagne non plus)

Après ça, passage à l'appart où j'ai déposé mes affaires, vu que, au final, on avait encore les clés. Puis direction le restau, on avait décidé (vaguement unilateralement, soit, mais au final je crois pas que quelqu'un ait été déçu du restau) de secher le restau de GaeDIIC, l'asso des anciens, histoire de se retrouver entre nous (à savoir Romaric, Solène, Delf, Pilou & moi). Pilou & moi on s'est (forcement) un peu lachés, c'est pas tous les jours qu'on est diplômés (plômés), mais c'était plutôt agréable, le vin était bon. Après ça, après la défection des autres, on s'est retrouvés tous les deux, direction la Part des Anges pour y boire un café, attendre Gpap et son frère, boire un verre de vin. Moi j'étais déjà pas mal éméché à ce moment là de la soirée, mais on a quand même rejoint le gros de la troupe, qui avait été au restau GaeDIIC, et qui se trouvait alors au Saint Melaine. Je crois que la Chimay m'a bien achevé, les mélanges, tout ça... Je suis rentré un peu au radar, bien content en fait de dormir au nidamour plutôt que chez Alex (même si je te remercie encore ici). Parce que ça m'a permis de dire au revoir à cet appart, et que finalement j'étais bien là, tout seul, j'avais vaguement réussi à attacher mon matelas pour pas qu'il bouge trop et tout. J'ai pas vraiment eu le temps de trouver ça glauque en tout cas. Bon evidemment, le matin, entre le mal de crane, le pas de médicaments ni de café dans l'appart, et le soleil qui tapait, c'était moins drôle, mais j'ai fini par trouver un dafalgan périmé qui a fait effet à moitié, puis un café/croissant aux amandes au soleil, mais la serveuse malgré mes yeux suppliants au bord de l'agonie, n'a pas réussi à me dégoter de l'aspirine. Balade dans Rennes, pas le courage d'aller me poser en terrasse pour boire un coup, forcement, puis à l'appart pour ranger, nettoyer, déménager les derniers troucs, afin que Rom puisse remettre les clés le lendemain.

Ça m'a tout de même fait vraiment bizarre, quand j'ai fermé l'appart pour la dernière fois, l'impression de vraiment partir, de vraiment sceller là toute l'année dernière. J'ai pas encore bien analysé ce qui s'est passé à ce moment là, mais j'ai cristallisé en 1/4s les differentes étapes de mon retour.

Après ça, direction la gare, pas loin, direction Brest, histoire de visiter un peu et surtout de faire un coucou à Mélanie. Deux jours à Brest, à se balader, à mater des flims (enfin vu Kill Bill, vol1 et vol2), à découvrir Brest et ses environs. Enfin tout est . Puis un retour à Paris via Rennes, histoire de mettre en ordre les dernières affaires.

Et maintenant, va pour la suite des vacances à Paris. Je suis pas sur qu'elles étaient vraiment "méritées", d'ailleurs, ces vacances, mais en fait elles m'arrangent très bien, soyez en sûrs...

Corsac@00:35:20 (Echoes)

dimanche 30 octobre 2005 (1 post)
Bon évidemment, c'est pas spécialement nouveau, ni spécialement surprenant, mais, en fait, je suis comme qui dirait un peu perdu en ce moment. Bon, ok, c'est normal, je reviens de Rennes, après trois ans, le retour est un peu dur, tout ça.

Bon ok. Mais ça va finir par se voir.

Je suis surtout hésitant, je sais pas trop où aller, que faire, dans quelle étagère, tout ça. Quoi choisir, sans aller jusqu'à quoi faire de ma vie, mais c'est un peu ça l'idée.

Je commence à reflechir à un endroit où faire un stage, l'été prochain. Avant même, finalement, de chercher quoi faire, je cherche dans quelle ville, voire dans quel pays.

Paris, Rennes, Grenoble, Montpellier, en France, en Europe ? Aux US ? Portland, Oregon, San Francisco, Los Angeles, la Californie ? Le sud ouest americain ? Ou bien New York ? Ou le Canada, Montréal ? Toronto ? Ou le mexique, le chili, l'amérique latine ? Ou encore ailleurs ?

Bref, je sais pas, je sais *vraiment* pas, pleins de choses m'attirent, j'ai pas envie de choisir pour l'instant, j'ai envie de continuer à rêver, à fantasmer en fait.

Oui, j'ai bien envie de fantasmer dans mon coin, sans me découvrir. Avancer masquer, tâter le terrain...

Corsac@22:57:17 (Echoes)

lundi 31 octobre 2005 (2 posts)
Quelque chose me dit que ça y est, c'est fini. On est le 31 octobre c'est ça ? Demain c'est le 1er novembre, c'est ça ?

Weather

On voit bien l'idée...

Corsac@10:43:53 (Echoes)

J'étais pas du tout membre du pari entre Rom & Julien, néanmoins, au final, à peine après le diplôme (plôme), et bah couic.

Oui, ça faisait quand même 5 ans que personne n'avait touché à mes cheveux (à part pour les déméler, et encore, y'en a ptet 2 ou 3, pas plus). Là ça commençait vraiment à devenir n'importe quoi. Pas la longueur, non, non, moi ça m'allait, même si ça devenait compliqué à démèler.

Non c'est surtout que y'avait 15cm de paille (ils étaient blonds quoi, vraiment) au bout, des cheveux tout morts, bref, fallait que je m'en occupe.

Du coup, voilà:

Avant: Après:
avant avant


En écoutant le bruit des ciseaux, derrière, j'entendais Hairless heart (si c'est pas un signe, finalement, ça), puis Counting out time et Carpet crawlers, autant dire que j'avais le cœur serré quoi.

Bon, au final, tout de même, je me suis pas *vraiment* coupé les cheveux, c'était juste pour leur refaire une santé quoi...

Corsac@13:37:20 (Echoes)

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